Au nom de Dieu le Clément ; Le Miséricordieux
Gloire à Allah qui choisit ses Hommes !
Que salut et bénédiction soient sur le Prophète Mohammad (psl) ; L’archétype de l’humanité qui acquis la précellence alors que l’aïeul était encore dans la boue .Que salut demeure éternellement sur son auguste famille et ses compagnons honorables.
Qu’il continue d’honorer son serviteur éternel, exemple vivant de la Sunna et personnification du Coran : Cheikh Ahmadou Bamba.
Nous voici réunis de nouveau pour commémorer les sacrifices d’un proche de Dieu qui fit don de sa personne pour notre salut. Il est clair que si le 18 Safar a fini de s’imposer en lettres d’or sur les calendriers du monde, c’est parce qu'il est une célébration unique. Unique aussi bien dans le fond de la pensée que dans la forme de célébration.
Marquant le départ d’exil d’un esclave exalté du Seigneur (Alghayba al Bahryya ), le Magal est aussi l’hypsomètre de son ultime élévation spirituelle . D’une telle action, nous tirons toujours et quotidiennement les dividendes car elle était la condition sine qua non de la survie de sa communauté. Mais l’échelon une fois acquis, il se prévalut de son altruisme pour convier tout un chacun à en tirer l’usufruit ; conscient que les faveurs de Ya Razaqou étaient si infinies qu’elles ne pouvaient se contraindre au pré carré de Touba. En cela Cheikhoul khadim est une manne universelle !
Journée de grâces et de jouissance ; ce 18 Safar nous rappelle si besoin en était, que l'un des principes déterminants et communs dans la Oummah est l’existence du test de foi qui se manifeste par une somme d’épreuves qui s’abat sur les croyants sincères. Dieu le Tout – Puissant nous enseigne à ce sujet dans le Saint coran une sourate si révélatrice « (...) très certainement, nous vous éprouverons par un peu de peur, de faim et de diminution de biens, de personnes et de fruits. Et fais la bonne annonce aux endurants » (Al-Baqara 'La Vache' : 155).».
Certes, la distinction ici en est que les épreuves dont le cheikh fut confronté pendant son voyage furent tant ardues que pénibles. Pensons à l’injustice du procès de Ndar ! Pensons aux difficultés du voyage ! Pensons à la forêt hostile du Gabon d’où régnait rien de plus que la faim, la claustration ; les mouches tsé-tsé.
Nonobstant si vos drones d’aujourd’hui pouvaient capturer l’image de ce saint noir aux habits immaculés ; ils vous montreront que dans cet état de fait il n’avait de compagnon que le Coran -livre de Dieu – plutôt zélé à calligraphier sans cesse l’amour infini qu’il éprouvait pour l’Anobli ; Seydina Mohammed (psl) ! Ils vous montreront que cet homme, seul face à l’océan de Mayombe, n’avait de souci que l’adoration de son Seigneur. Des lors que de solitudes vaincues ! Que d’isolements jugulés ! Que d’épreuves surmontées !
Au demeurant la récompense fut à la mesure des épreuves. Il fut certes le seul à quitter ces terres bénites pour aller à la rencontre de l’escadron de la mort ; mais aujourd’hui 18 Safar ; ce sont des millions qui se réveillent tout heureux en ces mêmes terres et ailleurs pour célébrer ce jour ! De mieux il trouva juste de confier Serigne Fallou et Serigne Moustapha , encore jeunes, à Dieu comme ultime acte car en ce même matin, ce sont des milliers qui font le pied de grue pour accéder à leur mausolée.
Au -delà de tout, le Magal commémore une constance : La persévérance dans l’action, la ténacité dans les idées, l’opiniâtreté dans la démarche ; la fidélité face au pacte de Darou Khoudoss signé d’avec le Prophète Mohammed (psl) ; bref une attitude constante de proclamer urbi et orbi l’Unicité de Dieu.
Chers talibés. Sachons alors préserver ce legs contre tout jeu machiavélique de politique politicienne. Le sort de cette ville fut scellé depuis longtemps, en ce que Touba par essence, est la manifestation de la prière exaucée ! Son rayonnement et son développement ne sauraient dépendre d’un quelconque fait de roi. Et s’il reste un peu à accomplir ; cela devrait de prime abord relever de notre propre action. Cela résonnerait même mieux en termes de citoyenneté participative. Le destin de notre ville ne doit dépendre que de nous-mêmes en ce que tout un chacun devrait se cogiter à voir comment participer positivement à l’apogée de cette ville. Ainsi ne demandons jamais ce qu’on peut faire pour nous ; mais que pouvons-nous faire pour Touba.
Si le Magal n’est pas un rite ordinaire ; c’est parce qu’il permet à tout musulman de magnifier en parfaite symbiose avec Serigne Touba pour les innombrables bienfaits accordés.
Ainsi aux jeunes mourides ; je vous renouvelle ma confiance. Dans ce monde en perdition où d’autres se regroupent ailleurs pour des parades ; vous avez choisi de venir célébrer avec Cheikhoul Khadim. Lui nous demande de le faire en lisant le Coran et louant le Prophète Mohammad (Psl). Quel bel état ! Nonobstant il ne peut en être autrement car votre présence est l’expression même de la victoire du Cheikh sur le projet d’acculturation entrepris par la colonisation. Aussi sachez que le bien n’est pas facile. Ce projet est certes défait mais les mêmes forces de dénigrements qui le caractérisaient se sont métamorphosés comme qui dirait d’une manière latente sur le champ communicationnel. Les campagnes de dénigrements envers notre communauté se disséminent volontiers sur WhatsApp, Instagram et Facebook. Le concept de « fake news » semble trouver son domaine de prédilection ici. Mais faites en fi ! Retenez que votre compagnonnage avec Cheikhoul khadim est la voie de royale et sûre pour boire au bassin de khawssara.
Au demeurant retenez que votre wassilah Cheikhoul Khadim est inégalable en tout ! En cela nous n’en voulons que deux exemples dans cet exposé :
D’abord, il est le seul en effet à pouvoir se prévaloir de ces mots in khadimatul Munajaati . En fait rien que ce dernier khassida en dit long sur sa précellence : Il dispose « (…) Dieu m’a sauvé de la mort éternelle (vers 24).(…) Par cet écrit, Dieu le très Haut et Exalté m’a choisi comme Son Serviteur et Compagnon. Et son Ami en apparence et en secret. (37-39) (…). Dieu le Très Haut et Exalté a écrit que l’auteur de ces mots séjournera aux cotés de Dieu ici-bas en lui repoussant le mal en lui offrant du bien quatre cents ans après cette écriture authentifiée par la vérité évidente. Dieu témoigne de ce que nous disons (Vers 79-84).
La prééminence du cheikh se juge à l’aune de sa piété constante .Son degré de piété fut assurément incomparable. Pour lui elle est l’objet d’une recherche continue dont il se prévalut pour accéder à l’Enceinte scellée. Il ne pouvait en être autrement. À la question de savoir quel est l’homme le plus noble devant Dieu, le prophète-Elu devait répondre selon les deux Cheikhs qu’il s’agissait du plus pieux. La piété de Khadim Rassoul fut le sujet favori des poètes de Gannar .
Mohammed Ibn Fafa, un érudit de la Mauritanie lui dit ainsi dans un poème : « Tu es le meilleur de ton époque et le plus valeureux des êtres humains » avant de sonner le glas dans un vers. « Tu es la piété, le savoir, l’intelligence, l’honnêteté et l’ascétisme. » .Cette piété fit qu’il a acquis cette place de choix dont le poète Mohammed Ibn Molla fait état : « le Cheikh est le pôle des savants. Il a ressuscité le visage de la religion …il est un guide, la lumière qui éclaire vers le droit chemin .l’aube de la vérité s’est élevée, la nuit de l’ignorance a disparu … c’est un homme unique en son genre de par ses qualités et son savoir ». Mohamed Al Hassani renchérit que « Si Hatim le généreux est d’un autre temps alors Cheikh al khadim est le Hatim de notre temps … Si tu veux le comparer à un autre généreux, je te dis maintenant: Ne compares pas la branche remplie de sève avec le bois mort. De toute ma vie, je n’ai jamais vu ou entendu parler de son pareil dans les temps anciens ».
Des lors chers Talibes ; agrippons nous ainsi à la voie de Cheikhoul khadim car son projet de société permet à coup sûr la réussite dans les deux mondes. Ce projet de société vise à parfaire l’homme par l’éducation pour arriver sainement à l’enceinte scellée de Dieu. Ceci tout en demeurant un citoyen modèle. L’homme étant la base de toute organisation sociétale ; sa formation adéquate ferait de lui un adorateur exemplaire du Seigneur, tout en étant un acteur économique fort appréciable. Et pour cette éducation, il ne ménagea aucun effort. Au final ce sont des milliers d’écrits qu’il nous a légués tout en prenant soin de ne laisser aucun domaine de la vie utile en rade. L’exégèse de ces écrits devient une nécessité de la Mouridiyya . C’est donc l’occasion de saluer la décision la décision du Khalife General Cheikh Mountakha d’ériger une université à Touba. Cette idée vient à son heure. Cette université contribuera au rayonnement universel de la pensée de Cheikhoul Khadim. Aussi nous ne saurions terminer ces mots sans renouveler nos prières pour sa réussite à la tête de la communauté. Que Dieu lui donne la force et le temps d’accomplir tous ses vœux pour la Mouridiyya.
As Salam maleikum wa Rahmatoullah
Serigne Khadim Lo Gaydel
Gloire à Allah qui choisit ses Hommes !
Que salut et bénédiction soient sur le Prophète Mohammad (psl) ; L’archétype de l’humanité qui acquis la précellence alors que l’aïeul était encore dans la boue .Que salut demeure éternellement sur son auguste famille et ses compagnons honorables.
Qu’il continue d’honorer son serviteur éternel, exemple vivant de la Sunna et personnification du Coran : Cheikh Ahmadou Bamba.
Nous voici réunis de nouveau pour commémorer les sacrifices d’un proche de Dieu qui fit don de sa personne pour notre salut. Il est clair que si le 18 Safar a fini de s’imposer en lettres d’or sur les calendriers du monde, c’est parce qu'il est une célébration unique. Unique aussi bien dans le fond de la pensée que dans la forme de célébration.
Marquant le départ d’exil d’un esclave exalté du Seigneur (Alghayba al Bahryya ), le Magal est aussi l’hypsomètre de son ultime élévation spirituelle . D’une telle action, nous tirons toujours et quotidiennement les dividendes car elle était la condition sine qua non de la survie de sa communauté. Mais l’échelon une fois acquis, il se prévalut de son altruisme pour convier tout un chacun à en tirer l’usufruit ; conscient que les faveurs de Ya Razaqou étaient si infinies qu’elles ne pouvaient se contraindre au pré carré de Touba. En cela Cheikhoul khadim est une manne universelle !
Journée de grâces et de jouissance ; ce 18 Safar nous rappelle si besoin en était, que l'un des principes déterminants et communs dans la Oummah est l’existence du test de foi qui se manifeste par une somme d’épreuves qui s’abat sur les croyants sincères. Dieu le Tout – Puissant nous enseigne à ce sujet dans le Saint coran une sourate si révélatrice « (...) très certainement, nous vous éprouverons par un peu de peur, de faim et de diminution de biens, de personnes et de fruits. Et fais la bonne annonce aux endurants » (Al-Baqara 'La Vache' : 155).».
Certes, la distinction ici en est que les épreuves dont le cheikh fut confronté pendant son voyage furent tant ardues que pénibles. Pensons à l’injustice du procès de Ndar ! Pensons aux difficultés du voyage ! Pensons à la forêt hostile du Gabon d’où régnait rien de plus que la faim, la claustration ; les mouches tsé-tsé.
Nonobstant si vos drones d’aujourd’hui pouvaient capturer l’image de ce saint noir aux habits immaculés ; ils vous montreront que dans cet état de fait il n’avait de compagnon que le Coran -livre de Dieu – plutôt zélé à calligraphier sans cesse l’amour infini qu’il éprouvait pour l’Anobli ; Seydina Mohammed (psl) ! Ils vous montreront que cet homme, seul face à l’océan de Mayombe, n’avait de souci que l’adoration de son Seigneur. Des lors que de solitudes vaincues ! Que d’isolements jugulés ! Que d’épreuves surmontées !
Au demeurant la récompense fut à la mesure des épreuves. Il fut certes le seul à quitter ces terres bénites pour aller à la rencontre de l’escadron de la mort ; mais aujourd’hui 18 Safar ; ce sont des millions qui se réveillent tout heureux en ces mêmes terres et ailleurs pour célébrer ce jour ! De mieux il trouva juste de confier Serigne Fallou et Serigne Moustapha , encore jeunes, à Dieu comme ultime acte car en ce même matin, ce sont des milliers qui font le pied de grue pour accéder à leur mausolée.
Au -delà de tout, le Magal commémore une constance : La persévérance dans l’action, la ténacité dans les idées, l’opiniâtreté dans la démarche ; la fidélité face au pacte de Darou Khoudoss signé d’avec le Prophète Mohammed (psl) ; bref une attitude constante de proclamer urbi et orbi l’Unicité de Dieu.
Chers talibés. Sachons alors préserver ce legs contre tout jeu machiavélique de politique politicienne. Le sort de cette ville fut scellé depuis longtemps, en ce que Touba par essence, est la manifestation de la prière exaucée ! Son rayonnement et son développement ne sauraient dépendre d’un quelconque fait de roi. Et s’il reste un peu à accomplir ; cela devrait de prime abord relever de notre propre action. Cela résonnerait même mieux en termes de citoyenneté participative. Le destin de notre ville ne doit dépendre que de nous-mêmes en ce que tout un chacun devrait se cogiter à voir comment participer positivement à l’apogée de cette ville. Ainsi ne demandons jamais ce qu’on peut faire pour nous ; mais que pouvons-nous faire pour Touba.
Si le Magal n’est pas un rite ordinaire ; c’est parce qu’il permet à tout musulman de magnifier en parfaite symbiose avec Serigne Touba pour les innombrables bienfaits accordés.
Ainsi aux jeunes mourides ; je vous renouvelle ma confiance. Dans ce monde en perdition où d’autres se regroupent ailleurs pour des parades ; vous avez choisi de venir célébrer avec Cheikhoul Khadim. Lui nous demande de le faire en lisant le Coran et louant le Prophète Mohammad (Psl). Quel bel état ! Nonobstant il ne peut en être autrement car votre présence est l’expression même de la victoire du Cheikh sur le projet d’acculturation entrepris par la colonisation. Aussi sachez que le bien n’est pas facile. Ce projet est certes défait mais les mêmes forces de dénigrements qui le caractérisaient se sont métamorphosés comme qui dirait d’une manière latente sur le champ communicationnel. Les campagnes de dénigrements envers notre communauté se disséminent volontiers sur WhatsApp, Instagram et Facebook. Le concept de « fake news » semble trouver son domaine de prédilection ici. Mais faites en fi ! Retenez que votre compagnonnage avec Cheikhoul khadim est la voie de royale et sûre pour boire au bassin de khawssara.
Au demeurant retenez que votre wassilah Cheikhoul Khadim est inégalable en tout ! En cela nous n’en voulons que deux exemples dans cet exposé :
D’abord, il est le seul en effet à pouvoir se prévaloir de ces mots in khadimatul Munajaati . En fait rien que ce dernier khassida en dit long sur sa précellence : Il dispose « (…) Dieu m’a sauvé de la mort éternelle (vers 24).(…) Par cet écrit, Dieu le très Haut et Exalté m’a choisi comme Son Serviteur et Compagnon. Et son Ami en apparence et en secret. (37-39) (…). Dieu le Très Haut et Exalté a écrit que l’auteur de ces mots séjournera aux cotés de Dieu ici-bas en lui repoussant le mal en lui offrant du bien quatre cents ans après cette écriture authentifiée par la vérité évidente. Dieu témoigne de ce que nous disons (Vers 79-84).
La prééminence du cheikh se juge à l’aune de sa piété constante .Son degré de piété fut assurément incomparable. Pour lui elle est l’objet d’une recherche continue dont il se prévalut pour accéder à l’Enceinte scellée. Il ne pouvait en être autrement. À la question de savoir quel est l’homme le plus noble devant Dieu, le prophète-Elu devait répondre selon les deux Cheikhs qu’il s’agissait du plus pieux. La piété de Khadim Rassoul fut le sujet favori des poètes de Gannar .
Mohammed Ibn Fafa, un érudit de la Mauritanie lui dit ainsi dans un poème : « Tu es le meilleur de ton époque et le plus valeureux des êtres humains » avant de sonner le glas dans un vers. « Tu es la piété, le savoir, l’intelligence, l’honnêteté et l’ascétisme. » .Cette piété fit qu’il a acquis cette place de choix dont le poète Mohammed Ibn Molla fait état : « le Cheikh est le pôle des savants. Il a ressuscité le visage de la religion …il est un guide, la lumière qui éclaire vers le droit chemin .l’aube de la vérité s’est élevée, la nuit de l’ignorance a disparu … c’est un homme unique en son genre de par ses qualités et son savoir ». Mohamed Al Hassani renchérit que « Si Hatim le généreux est d’un autre temps alors Cheikh al khadim est le Hatim de notre temps … Si tu veux le comparer à un autre généreux, je te dis maintenant: Ne compares pas la branche remplie de sève avec le bois mort. De toute ma vie, je n’ai jamais vu ou entendu parler de son pareil dans les temps anciens ».
Des lors chers Talibes ; agrippons nous ainsi à la voie de Cheikhoul khadim car son projet de société permet à coup sûr la réussite dans les deux mondes. Ce projet de société vise à parfaire l’homme par l’éducation pour arriver sainement à l’enceinte scellée de Dieu. Ceci tout en demeurant un citoyen modèle. L’homme étant la base de toute organisation sociétale ; sa formation adéquate ferait de lui un adorateur exemplaire du Seigneur, tout en étant un acteur économique fort appréciable. Et pour cette éducation, il ne ménagea aucun effort. Au final ce sont des milliers d’écrits qu’il nous a légués tout en prenant soin de ne laisser aucun domaine de la vie utile en rade. L’exégèse de ces écrits devient une nécessité de la Mouridiyya . C’est donc l’occasion de saluer la décision la décision du Khalife General Cheikh Mountakha d’ériger une université à Touba. Cette idée vient à son heure. Cette université contribuera au rayonnement universel de la pensée de Cheikhoul Khadim. Aussi nous ne saurions terminer ces mots sans renouveler nos prières pour sa réussite à la tête de la communauté. Que Dieu lui donne la force et le temps d’accomplir tous ses vœux pour la Mouridiyya.
As Salam maleikum wa Rahmatoullah
Serigne Khadim Lo Gaydel