Il avait été sauvé, en dépit de sa bourde attestant que l’entourage de Wade détourne les deniers publics, parce que sachant que Wade voulait donner un coup de grâce au secrétaire général du Parti de la réforme, Abdourahime Agne. Il va claquer la porte de cette formation politique, dont il était le numéro 2. C’était pour se rendre avec armes et bagages dans les prairies bleues. Mais, il a voulu forcer la porte libérale du département de Mbour, où il adhère désormais, en soutenant avoir rencontré les responsables des lieux.
Le démenti n’a pas tardé à tomber. Depuis il y est à l’étroit. Il lui a été rappelé son instabilité, pour avoir, dans le passé, claqué la porte du Parti démocratique sénégalais. M. Ndiaye est un transhumant de classe exceptionnelle, parce qu’outre le Pds et le Pr, il avait également milité au Parti socialiste.
Désormais, il devra s’attendre à des attaques venant de son ancienne formation, tout comme des responsables libéraux, qui pensent qu’il travaille pour se positionner à la direction du département de Mbour. Serigne Mbacké Ndiaye est en sursis, parce que prenant trop au sérieux sa fonction de ministre auprès de Wade. Il est sur toutes les lucarnes.
Dernièrement, il s’est fait invité, deux soirées successives, pour spéculer sur les affrontements ayant opposé les calots bleus à des manifestants devant l’Ambassade du Sénégal en France, où s’était retranché le président Wade. Il oublie que ce dernier ne s’accommode pas de ceux qui parlent trop et à chaque bout de champ. Avec Wade, qui veut vivre, longtemps, rase les murs. Il est en sursis, le temps que le climat socio-politique soit moins tendu, pour celui dont il passe le temps à faire l’apologie. Car, Wade est entrain de cuisiner avec une grande marmite. Or Serigne Mbacké Ndiaye n’est pour lui qu’une cuillerée, alors que Wade veut une grande louche pour agiter à fond la sauce qu’il prépare.
C’est dire que les jours de l’ancien second de Abdourahime Agne sont comptés. Il n’aura que ses yeux pour pleurer ses excès de zèle et reniements. Wade a un prétexte : ses proches lui ont confirmé que M. Ndiaye n’est qu’un agitateur sans base politique. En plus il est très fade, parce que manquant d’arguments à l’occasion des débats auxquels il participe. Ainsi, il dessert celui qui l’a nommé pour le servir.
La Redaction xibar
Le démenti n’a pas tardé à tomber. Depuis il y est à l’étroit. Il lui a été rappelé son instabilité, pour avoir, dans le passé, claqué la porte du Parti démocratique sénégalais. M. Ndiaye est un transhumant de classe exceptionnelle, parce qu’outre le Pds et le Pr, il avait également milité au Parti socialiste.
Désormais, il devra s’attendre à des attaques venant de son ancienne formation, tout comme des responsables libéraux, qui pensent qu’il travaille pour se positionner à la direction du département de Mbour. Serigne Mbacké Ndiaye est en sursis, parce que prenant trop au sérieux sa fonction de ministre auprès de Wade. Il est sur toutes les lucarnes.
Dernièrement, il s’est fait invité, deux soirées successives, pour spéculer sur les affrontements ayant opposé les calots bleus à des manifestants devant l’Ambassade du Sénégal en France, où s’était retranché le président Wade. Il oublie que ce dernier ne s’accommode pas de ceux qui parlent trop et à chaque bout de champ. Avec Wade, qui veut vivre, longtemps, rase les murs. Il est en sursis, le temps que le climat socio-politique soit moins tendu, pour celui dont il passe le temps à faire l’apologie. Car, Wade est entrain de cuisiner avec une grande marmite. Or Serigne Mbacké Ndiaye n’est pour lui qu’une cuillerée, alors que Wade veut une grande louche pour agiter à fond la sauce qu’il prépare.
C’est dire que les jours de l’ancien second de Abdourahime Agne sont comptés. Il n’aura que ses yeux pour pleurer ses excès de zèle et reniements. Wade a un prétexte : ses proches lui ont confirmé que M. Ndiaye n’est qu’un agitateur sans base politique. En plus il est très fade, parce que manquant d’arguments à l’occasion des débats auxquels il participe. Ainsi, il dessert celui qui l’a nommé pour le servir.
La Redaction xibar