«Nous avons un projet au niveau du ministère qui permet de suivre les activités des élèves ; il y en a aussi pour la formation des enseignants dans le cadre du programme Initiative pour la formation à distance des maîtres, un projet pilote a été lancé dans les régions de Kaolack et de Fatick, où nous avons suivi pendant un an, 500 enseignants avec un tutorat qui se fait de façon électronique pour suivre les modules qui suivent pour le renforcement de leurs capacités.
Maintenant, il ne s’agit pas d’avoir peur des réseaux sociaux et des transformations numériques. Ces transformations digitales s’imposent à nous. Donc, il faudrait avoir une stratégie pour adopter cette transformation digitale aux exigences de l’éducation et de protection de l’enfant en même temps. Parce que la meilleure façon d’éduquer à une bonne utilisation des réseaux sociaux, de la transformation digitale pour l’éducation, c’est de lui montrer qu’on peut y trouver des contenus utiles à sa formation», a dit le ministre. Il s’exprimait ce samedi, lors de l’ouverture de la journée dédiée à l’éducation digitale avec son homologue français.
Leral.net
Maintenant, il ne s’agit pas d’avoir peur des réseaux sociaux et des transformations numériques. Ces transformations digitales s’imposent à nous. Donc, il faudrait avoir une stratégie pour adopter cette transformation digitale aux exigences de l’éducation et de protection de l’enfant en même temps. Parce que la meilleure façon d’éduquer à une bonne utilisation des réseaux sociaux, de la transformation digitale pour l’éducation, c’est de lui montrer qu’on peut y trouver des contenus utiles à sa formation», a dit le ministre. Il s’exprimait ce samedi, lors de l’ouverture de la journée dédiée à l’éducation digitale avec son homologue français.
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