Selon une étude des chercheurs de l'Université Ruskin en Grande-Bretagne, les hommes ayant déclaré avoir eu 10 partenaires sexuels ou plus au cours de leur vie sont 69% plus susceptibles d'avoir un diagnostic de cancer, tandis que les femmes ayant 10 partenaires ou plus sont 91% plus susceptibles de développer un cancer.
Sexe oral : les hommes plus à risque de cancers que les femmes
Pour cette étude, les chercheurs ont analysé les données de santé de 2537 hommes et 3185 femmes de 50 ans et plus. Parmi les participants, environ 28,5 % des hommes ont déclaré avoir eu 0 ou 1 partenaire sexuel à ce jour, 29 % 2 à 4, 20 % 5 à 9 et 22 % ont déclaré 10 partenaires ou plus. Pour les femmes, un peu moins de 41 % ont déclaré 0 ou 1 partenaire sexuel, 35,5 % 2 à 4, moins de 16 % 5 à 9 partenaires et un peu moins de 8 % ont déclaré 10 partenaires ou plus. "Ceux qui ont déclaré le plus grand nombre de partenaires sexuels étaient également plus susceptibles de fumer et de boire fréquemment", soulignent les chercheurs.
Il s'agit d'une étude observationnelle et les scientifiques n'en tirent pas de conclusion sur le lien de cause à effet. Mais ils suggèrent que se renseigner sur le nombre de partenaires sexuels pourrait compléter les programmes de dépistage du cancer existants et aiderait les médecins à identifier les personnes à risque.
Source : topsante.com
Sexe oral : les hommes plus à risque de cancers que les femmes
Pour cette étude, les chercheurs ont analysé les données de santé de 2537 hommes et 3185 femmes de 50 ans et plus. Parmi les participants, environ 28,5 % des hommes ont déclaré avoir eu 0 ou 1 partenaire sexuel à ce jour, 29 % 2 à 4, 20 % 5 à 9 et 22 % ont déclaré 10 partenaires ou plus. Pour les femmes, un peu moins de 41 % ont déclaré 0 ou 1 partenaire sexuel, 35,5 % 2 à 4, moins de 16 % 5 à 9 partenaires et un peu moins de 8 % ont déclaré 10 partenaires ou plus. "Ceux qui ont déclaré le plus grand nombre de partenaires sexuels étaient également plus susceptibles de fumer et de boire fréquemment", soulignent les chercheurs.
Il s'agit d'une étude observationnelle et les scientifiques n'en tirent pas de conclusion sur le lien de cause à effet. Mais ils suggèrent que se renseigner sur le nombre de partenaires sexuels pourrait compléter les programmes de dépistage du cancer existants et aiderait les médecins à identifier les personnes à risque.
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