
« Il faut que cela s’arrête », a dit Seydi Gassama. Il estime, d'après Le Quotidien, que la première action à entreprendre c’est de doter les consulats de moyens pour qu’ils assistent les Sénégalais dans leur pays d’accueil. Pour commencer, il suggère qu’on supprime le ministère des Sénégalais de l’extérieur qui ne sert, selon lui, qu’à faire de la politique. Il proposé que son budget soit alloué aux préoccupations des Sénégalais de la diaspora qui nourrissent le Sénégal.
La question de la peine de mort a été également abordée par les droits de l’hommistes. Selon eux, rapporte nos confrères, « l’urgence c’est de s’attaquer aux causes profondes de la criminalité et de sécuriser la banlieue sénégalaise en y installant des postes de police qui vont assurer la sécurité des citoyens ». Ils considèrent que ceux qui créent ce débat ne sortent pas d’arguments scientifiques. « Quand on pose des questions sociales aussi sensibles, il faut les accompagner d’arguments scientifiques. Nous avons malheureusement des imams et des prédicateurs politiciens qui sont prêts à user de questions sensibles pour se faire une image et cela nous le condamnons », s'est indigné M. Gassama.
La question de la peine de mort a été également abordée par les droits de l’hommistes. Selon eux, rapporte nos confrères, « l’urgence c’est de s’attaquer aux causes profondes de la criminalité et de sécuriser la banlieue sénégalaise en y installant des postes de police qui vont assurer la sécurité des citoyens ». Ils considèrent que ceux qui créent ce débat ne sortent pas d’arguments scientifiques. « Quand on pose des questions sociales aussi sensibles, il faut les accompagner d’arguments scientifiques. Nous avons malheureusement des imams et des prédicateurs politiciens qui sont prêts à user de questions sensibles pour se faire une image et cela nous le condamnons », s'est indigné M. Gassama.