La spécialiste en communication institutionnelle précise toutefois qu’elle n’est pas mue par un sentiment de vengeance ou même de réparer une injustice. Il faut placer ce livre dans un contexte de récit d’une expérience vécue. « Un récit d’expériences et qui traduisent un besoin de témoigner, de ne pas laisser comme une page blanche qui ferait le deuil de toutes les actions menées », explique-t-elle dans les colonnes de l’hebdo du Quotidien.
Mais le moins que l’on puisse dire c’est que Seynabou garde un goût amer du report du Fesman 2009 dont la coordination a été confiée à l’écrivain, Alioune Badara Bèye. Un pilotage qui a été retiré à ce dernier pour atterrir dans les bras de la fille du Président de la République. Une nouvelle équipe qui, selon Seynabou Touré, n’a fait que récolter les fruits de la première qui a presque fait tout le travail. Preuve en est donnée par les grandes figures qui ont pris part aux festivités de décembre dernier. « C’est nous qui avons démarché toutes les personnalités qui se sont déplacées dans le cadre du 3e Fesman », assure Seynabou Touré. Qui fait état d’une dette que l’Etat lui doit. « J’ai été honorée de mes commissions jusqu’en 2009. Après cette date, plus rien », dit-elle. Pourtant son contrat avec la délégation générale du Festival mondial des arts nègres n’est toujours pas rompu.
Mais Seynabou ne voit pas encore la couleur de l’argent que lui doivent les organisateurs de cet événement qui a pris fin le 31 décembre 2010. Elle s’en est ouverte au chef de l’Etat mais elle court toujours derrière ses 30 millions. Tout ce qui lui reste à faire, c’est de nourrir un espoir de voir son dû lui être restitué. Avec les honneurs pour services rendus à un pays où les plus méritants ne sont pas toujours récompensés.
Mais le moins que l’on puisse dire c’est que Seynabou garde un goût amer du report du Fesman 2009 dont la coordination a été confiée à l’écrivain, Alioune Badara Bèye. Un pilotage qui a été retiré à ce dernier pour atterrir dans les bras de la fille du Président de la République. Une nouvelle équipe qui, selon Seynabou Touré, n’a fait que récolter les fruits de la première qui a presque fait tout le travail. Preuve en est donnée par les grandes figures qui ont pris part aux festivités de décembre dernier. « C’est nous qui avons démarché toutes les personnalités qui se sont déplacées dans le cadre du 3e Fesman », assure Seynabou Touré. Qui fait état d’une dette que l’Etat lui doit. « J’ai été honorée de mes commissions jusqu’en 2009. Après cette date, plus rien », dit-elle. Pourtant son contrat avec la délégation générale du Festival mondial des arts nègres n’est toujours pas rompu.
Mais Seynabou ne voit pas encore la couleur de l’argent que lui doivent les organisateurs de cet événement qui a pris fin le 31 décembre 2010. Elle s’en est ouverte au chef de l’Etat mais elle court toujours derrière ses 30 millions. Tout ce qui lui reste à faire, c’est de nourrir un espoir de voir son dû lui être restitué. Avec les honneurs pour services rendus à un pays où les plus méritants ne sont pas toujours récompensés.