Si la blonde sculpturale paradait pour l’Homme qui rit lors du 69e Festival du Film de Venise, elle aurait pu jouer dans la femme qui minaude plus vite que son ombre. Emmanuelle Seigner, rompue à l’exercice du red carpet, est apparue tout sourire lors de la Mostra, avec son make-up sophistiqué de circonstance. Un maquillage qui se décline surtout en soirée, pour les grandes occasions, mais qui joue sur les oppositions.
On aime le teint diaphane, éthéré, parfaitement unifié. Une peau parfaite qu’arbore la lumineuse Emmanuelle Seigner, et qu’elle égaye avec un blush rosé. Si sa bouche parfaitement dessinée joue elle aussi sur un répertoire féminin délicatement sucré, ses deux billes bleues sont mises en valeur avec un smoky noir profond. Un make-up nude et mystérieux, nature et travaillé qui mélange les genres et opte pour l’ambiguïté, mais au résultat impeccable. Une vraie leçon de beauté.
On aime le teint diaphane, éthéré, parfaitement unifié. Une peau parfaite qu’arbore la lumineuse Emmanuelle Seigner, et qu’elle égaye avec un blush rosé. Si sa bouche parfaitement dessinée joue elle aussi sur un répertoire féminin délicatement sucré, ses deux billes bleues sont mises en valeur avec un smoky noir profond. Un make-up nude et mystérieux, nature et travaillé qui mélange les genres et opte pour l’ambiguïté, mais au résultat impeccable. Une vraie leçon de beauté.