
« Si le Président Déby se dit qu’il est prêt à venir témoigner, les magistrats sénégalais tireront les conséquences de son témoignage. En ce moment-là, nous pouvons dire que le procès aura mis en scelle l’ensemble des personnes, des protagonistes qui sont présumés être responsables des crimes qui ont été commis de la période du mois de juin 1982 au mois de décembre 1990 qui correspond au règne de 8 ans de Hissène Habré comme président de la République du Tchad », a-t-il dit dans Le Populaire.