La CEDEAO réitère sa demande de nomination rapide d’un président et d’un Premier ministre de transition civils. Prenant la parole, le président ghanéen Nana Akufo-Addo, porté à la tête de la présidence tournante de l’organisation il y a quelques jours, a été ferme: «nous espérons que nous parlons de jours et non de semaines», a-t- il déclaré.
A son tour, le président Ivoirien Alassane Ouattara a souligné à la sortie de la réunion que le Mali ne pouvait pas «rester dans cette situation pendant des jours et des semaines », tout en souhaitant qu’une « solution consensuelle » soit trouvée « le plus rapidement possible ».
Ce sera seulement après la désignation de ces personnalités civiles que les sanctions économiques contre le Mali, l’embargo sur les flux commerciaux et financiers et la fermeture des frontières avec le pays seront levées.
Dans le sillage de la rencontre d’Accra, le médiateur de la CEDEAO, l’ancien président nigérian, Goodluck Jonathan, doit à nouveau se rendre à Bamako la semaine prochaine pour s’assurer des avancées vers la transition civile du CNSP, le Conseil national pour le salut du peuple, institué par les militaires pour gouverner le pays.
Selon le président burkinabé, Roch Marc Christian Kaboré, celui -ci devra être dissous après l’installation de la transition.
FinancialAfrik
A son tour, le président Ivoirien Alassane Ouattara a souligné à la sortie de la réunion que le Mali ne pouvait pas «rester dans cette situation pendant des jours et des semaines », tout en souhaitant qu’une « solution consensuelle » soit trouvée « le plus rapidement possible ».
Ce sera seulement après la désignation de ces personnalités civiles que les sanctions économiques contre le Mali, l’embargo sur les flux commerciaux et financiers et la fermeture des frontières avec le pays seront levées.
Dans le sillage de la rencontre d’Accra, le médiateur de la CEDEAO, l’ancien président nigérian, Goodluck Jonathan, doit à nouveau se rendre à Bamako la semaine prochaine pour s’assurer des avancées vers la transition civile du CNSP, le Conseil national pour le salut du peuple, institué par les militaires pour gouverner le pays.
Selon le président burkinabé, Roch Marc Christian Kaboré, celui -ci devra être dissous après l’installation de la transition.
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