A l’analyse de l’existant à Transrail, la nouvelle équipe dirigeante a estimé qu’il fallait opérer, au plus vite, des ruptures radicales pour redonner santé et attractivité à l’entreprise. Pour cause, la gestion précédente n’a pas été des plus performantes. Ainsi, pour mieux gérer l’opérationnel, afin d’assurer le quotidien, il aurait été proposé une nouvelle stratégie en quatre axes, pour faire face aux exigences de l’heure. Parmi ces exigences, le problème de Carburant, avec la reprise de son contrat avec Total, nous souffle un proche de Tansrail. En effet, selon lui, pour une entreprise de transport de masse comme Transrail, le poste de dépenses Carburant est un des plus importants. Jusqu’ici, Transrail s’approvisionnait en gasoil, au jour le jour, parce que les fournisseurs exigeaient un paiement au comptant, et que Transrail ne disposait pas des liquidités nécessaires. Conséquence : il arrivait que les trains restent en stationnement pendant 48 heures. Ce qui, naturellement, ralentissait les rotations, et sans compter que, le fait de payer le gasoil auprès de petits distributeurs, exposent les machines à des soucis techniques, du fait que ce gasoil est toujours dilué à de l’eau.
Parmi les ruptures opérées par la nouvelle, informe notre source, il y’a aussi la Trésorerie. Sur ce, il sera procédé à la traque des chèques sans provisions ! Ensuite, vient le volet commercial avec des initiatives pour augmenter le chiffre d’affaires. Sur la question, dans son numéro du jour, Transrail Info, qui a été initiée par la nouvelle équipe, on nous apprend que, depuis 2005, le prix du carburant a fortement augmenté, de même que la masse salariale. Et que, dans le même temps, les tarifs pratiqués sur la ligne, n’ont pas bougé. C’est pourquoi, la politique tarifaire a été revue. Sur le plan du chargement, il y aura de moins en moins de trains vides, à la descente parce que la CMDT que la direction a démarché, a accepté de confier à Transrail plus de tonnage de coton ; ce qui aboutira au doublement du transport de ce produit. Sans compter les contrats qui ont été finalisés avec Maersk, Cma Cgm et le Pam (Programme Alimentaire Mondial), fait confiance à Transrail pour alimenter le Mali… Le carburant, la trésorerie, le volet commercial, en plus de la facturation, sont quatre des leviers sur lesquels, la nouvelle direction de Transrail agit pour
remettre la société sur les rails de la performance.
Parmi les ruptures opérées par la nouvelle, informe notre source, il y’a aussi la Trésorerie. Sur ce, il sera procédé à la traque des chèques sans provisions ! Ensuite, vient le volet commercial avec des initiatives pour augmenter le chiffre d’affaires. Sur la question, dans son numéro du jour, Transrail Info, qui a été initiée par la nouvelle équipe, on nous apprend que, depuis 2005, le prix du carburant a fortement augmenté, de même que la masse salariale. Et que, dans le même temps, les tarifs pratiqués sur la ligne, n’ont pas bougé. C’est pourquoi, la politique tarifaire a été revue. Sur le plan du chargement, il y aura de moins en moins de trains vides, à la descente parce que la CMDT que la direction a démarché, a accepté de confier à Transrail plus de tonnage de coton ; ce qui aboutira au doublement du transport de ce produit. Sans compter les contrats qui ont été finalisés avec Maersk, Cma Cgm et le Pam (Programme Alimentaire Mondial), fait confiance à Transrail pour alimenter le Mali… Le carburant, la trésorerie, le volet commercial, en plus de la facturation, sont quatre des leviers sur lesquels, la nouvelle direction de Transrail agit pour
remettre la société sur les rails de la performance.