Le Directeur général de la Sonatel a pris place hier à la « Table de la Presse» dont les occupants (les journalistes Issa Sall de Nouvel Horizon, Cheikh Thiam du quotidien «Le Soleil», Massamba Mbaye du groupe D-Médias, Maïmouna Ndour Faye administratrice du site azactu.net, Mamoudou Ibra Kane du groupe Futurs Médias, Mamoudou Wane du journal «L’Enquête», l’ambassadeur Oumar Seck, ex-directeur de la télévision nationale et Mamadou Thierno Talla du journal «L’As») se sont délectés des mets apportés par leur invité. Le directeur de la Communication de Sonatel, Karim Mbengue, a pris part au déjeuner. Et il ressort des informations fournies par Alioune Ndiaye à ses hôtes, que son appel solennel et public lors de l’inauguration en juin dernier, du nouveau siège de la Sonatel a eu un écho favorable du côté des autorités de Freetown. Le Président Macky Sall, en intervenant auprès de son homologue sierra-léonais Ernest Bai Koroma a permis à la première société de téléphonie de décrocher une licence pour le mobile. Donc après le Mali, la Guinée et la Guinée Bissau, la Sonatel étend ses tentacules en Sierra Léone, poursuivant ainsi son expansion dans la sous-région ouest africaine.
La Sonatel, selon son Directeur général, c’est aussi un chiffre d’affaires de plus de 863 milliards F Cfa avec un bénéfice de 221 milliards F Cfa dont les 86 milliards ont été réalisés au Sénégal. En 2015, le personnel a perçu pour 12 milliards au titre de primes. Et last but not least, soutient Alioune Ndiaye, les salaires et les primes des travailleurs ont augmenté depuis février dernier. 70 % du personnel a accédé à la propriété bâtie.
Alors que l’entreprise connaît depuis quelques temps des grincements de dents liés au projet d’externalisation, le Directeur général de la boîte révèle que 12 employés ont accepté volontairement de rejoindre Huawei et 22 autres devraient suivre après de sérieuses garanties à eux fournies.
A en croire Alioune Ndiaye, la Sonatel emploie aujourd’hui 1800 travailleurs dont seulement 4 expatriés. Particulièrement jeune, soutient le successeur de Cheikh Tidiane Mbaye, le personnel ne connaît annuellement que 9 départs.
S’agissant de la licence 4G qui n’a été attribuée à aucun des trois opérateurs de téléphonie (Orange, Tigo et Expresso) faute de candidature et d’offre de leur part, le patron de Sonatel affirme que rien n’est encore perdu. En 2017, renseigne Alioune Ndiaye, il ne doute pas que la licence sera renouvelée.
Dans le cas contraire, cette mesure extrême aura des conséquences incalculables. Il ne resterait plus que 200 travailleurs sur les 1800. De plus, l’Etat qui a reçu 214 sous formes de taxes et d’impôts en 2015, perdrait beaucoup de milliards, sans parler du remboursement des 42 % des actions à France Télécoms.
Dans le cadre de la Responsabilité sociétale d’entreprise (Rse), la Sonatel envisage en collaboration avec Ageroute d’ériger un échangeur en face de son siège, où la circulation est devenue infernale.
Source: L'As
La Sonatel, selon son Directeur général, c’est aussi un chiffre d’affaires de plus de 863 milliards F Cfa avec un bénéfice de 221 milliards F Cfa dont les 86 milliards ont été réalisés au Sénégal. En 2015, le personnel a perçu pour 12 milliards au titre de primes. Et last but not least, soutient Alioune Ndiaye, les salaires et les primes des travailleurs ont augmenté depuis février dernier. 70 % du personnel a accédé à la propriété bâtie.
Alors que l’entreprise connaît depuis quelques temps des grincements de dents liés au projet d’externalisation, le Directeur général de la boîte révèle que 12 employés ont accepté volontairement de rejoindre Huawei et 22 autres devraient suivre après de sérieuses garanties à eux fournies.
A en croire Alioune Ndiaye, la Sonatel emploie aujourd’hui 1800 travailleurs dont seulement 4 expatriés. Particulièrement jeune, soutient le successeur de Cheikh Tidiane Mbaye, le personnel ne connaît annuellement que 9 départs.
S’agissant de la licence 4G qui n’a été attribuée à aucun des trois opérateurs de téléphonie (Orange, Tigo et Expresso) faute de candidature et d’offre de leur part, le patron de Sonatel affirme que rien n’est encore perdu. En 2017, renseigne Alioune Ndiaye, il ne doute pas que la licence sera renouvelée.
Dans le cas contraire, cette mesure extrême aura des conséquences incalculables. Il ne resterait plus que 200 travailleurs sur les 1800. De plus, l’Etat qui a reçu 214 sous formes de taxes et d’impôts en 2015, perdrait beaucoup de milliards, sans parler du remboursement des 42 % des actions à France Télécoms.
Dans le cadre de la Responsabilité sociétale d’entreprise (Rse), la Sonatel envisage en collaboration avec Ageroute d’ériger un échangeur en face de son siège, où la circulation est devenue infernale.
Source: L'As