En effet, en homme averti, Boubacar Camara avait alerté sur la crise de confiance qu’on traverse et avait théorisé toutes les possibilités pour l’instauration d’un climat de confiance et une élection présidentielle inclusive, dans la plus grande transparence. Une position qui lui a valu des attaques de toutes sortes.
Pris dans leur propre piège Macky Sall et ses alliés ont montré leur limite. Ils ont essayé d'expérimenter « la théorie » mais tardivement et de façon maladroite. Au finish, ils ont échoué et sont devenus la risée de tous.
Aujourd’hui, le pays baigne dans une situation politique chaotique qui risque d'entraîner dans ses ébullitions les institutions du Sénégal. C'est une crise de confiance qui est notée actuellement entre acteurs politiques mais aussi entre institutions devant garantir la stabilité du pays.
Avec la décision du conseil constitutionnel qui vient abroger le décret du président de la République sur le report de l'élection présidentielle, les choses deviennent de plus en plus compliquées. Sans pour autant tenir en compte le bras de fer entre l'Assemblée nationale et le conseil constitutionnel, une situation à la limite catastrophique pour le pays.
De l'autre côté, la classe politique se regarde en chiens de faïence. L'opposition très remontée contre le chef de l'État et la mouvance présidentielle secouée. Une situation qui n'est pas sans conséquence pour le sénégalais lambda qui subit toutes les machinations de cette classe politique.
Ayant théorisé un report consensuel pour réunir les conditions idoines pour la tenue d'une élection, le candidat à la présidentielle, Boubacar Camara, semblait être mal compris. Cependant la situation actuelle force à ce report consensuel, demandé même par le conseil constitutionnel qui demande aux acteurs concernés de discuter pour la tenue de cette élection présidentielle.
Pris dans leur propre piège Macky Sall et ses alliés ont montré leur limite. Ils ont essayé d'expérimenter « la théorie » mais tardivement et de façon maladroite. Au finish, ils ont échoué et sont devenus la risée de tous.
Aujourd’hui, le pays baigne dans une situation politique chaotique qui risque d'entraîner dans ses ébullitions les institutions du Sénégal. C'est une crise de confiance qui est notée actuellement entre acteurs politiques mais aussi entre institutions devant garantir la stabilité du pays.
Avec la décision du conseil constitutionnel qui vient abroger le décret du président de la République sur le report de l'élection présidentielle, les choses deviennent de plus en plus compliquées. Sans pour autant tenir en compte le bras de fer entre l'Assemblée nationale et le conseil constitutionnel, une situation à la limite catastrophique pour le pays.
De l'autre côté, la classe politique se regarde en chiens de faïence. L'opposition très remontée contre le chef de l'État et la mouvance présidentielle secouée. Une situation qui n'est pas sans conséquence pour le sénégalais lambda qui subit toutes les machinations de cette classe politique.
Ayant théorisé un report consensuel pour réunir les conditions idoines pour la tenue d'une élection, le candidat à la présidentielle, Boubacar Camara, semblait être mal compris. Cependant la situation actuelle force à ce report consensuel, demandé même par le conseil constitutionnel qui demande aux acteurs concernés de discuter pour la tenue de cette élection présidentielle.