« Je confirme qu’en 2021, le ministre Abdoulaye Diouf Sarr nous avait accordé une subvention d’investissement de 150 millions. Une fois arrivé à l'hôpital, j'ai donné l’information aux travailleurs. Nous avions tenu des réunions internes pour savoir où orienter cet argent. On s’est dit qu’il faut réhabiliter ou reconstruire le laboratoire, la médecine, l’actuel restaurant. Cela a été adopté. Mais les experts nous ont fait un devis de 223 millions. Il fallait trouver un montant additionnel », explique-t-il.
Le directeur, Cheikh Mbaye Seck, explique, lui, que le maire de Guédiawaye, Ahmed Aïdara, lui avait dit qu’il a des partenaires qui sont prêts à reconstruire l’hôpital.
« Il m’a même montré une maquette du nouvel hôpital Roi Baudouin. Ses partenaires sont venus visiter l’hôpital. Lors du conseil d’administration, on s’est dit qu'il ne serait pas pertinent de réhabiliter l’hôpital, alors qu’il y a un projet de reconstruction. J’ai demandé à ce qu’on injecte les 150 millions dans l’amélioration de l’offre de soins et de la prise en charge des malades », renseigne M. Seck.
En ce qui concerne la panne de la radio, il indique que l’appareil date de plus de 15 ans. A l’en croire, le tube coûte excessivement cher. D’ailleurs, le ministère de la Santé a réceptionné des appareils de radio tout neufs et il ne reste que la signature pour attribuer un nouvel appareil à l’hôpital.
«Donc, où est le problème ?», s’interroge Cheikh Mbaye Seck. Il dément des ruptures d’intrants.
Le directeur, Cheikh Mbaye Seck, explique, lui, que le maire de Guédiawaye, Ahmed Aïdara, lui avait dit qu’il a des partenaires qui sont prêts à reconstruire l’hôpital.
« Il m’a même montré une maquette du nouvel hôpital Roi Baudouin. Ses partenaires sont venus visiter l’hôpital. Lors du conseil d’administration, on s’est dit qu'il ne serait pas pertinent de réhabiliter l’hôpital, alors qu’il y a un projet de reconstruction. J’ai demandé à ce qu’on injecte les 150 millions dans l’amélioration de l’offre de soins et de la prise en charge des malades », renseigne M. Seck.
En ce qui concerne la panne de la radio, il indique que l’appareil date de plus de 15 ans. A l’en croire, le tube coûte excessivement cher. D’ailleurs, le ministère de la Santé a réceptionné des appareils de radio tout neufs et il ne reste que la signature pour attribuer un nouvel appareil à l’hôpital.
«Donc, où est le problème ?», s’interroge Cheikh Mbaye Seck. Il dément des ruptures d’intrants.