Les reporters et stagiaires (pour la plupart des étudiants en journalisme et communication à l'ISEG) ont jeté l'éponge après avoir demandé des explications au patron. Ce dernier par ailleurs, enseignant à l'Institut, affirme que la collaboration avec eux a pris fin. Se plaignant d'évoluer dans de dures conditions de travail, sans transport ni salaire, les étudiants journalistes ont finalement abandonné leur professeur Doudou Coulibaly.
Joint au téléphone par nos confrères de Walf Grand Place, ce professeur explique avoir voulu créer un centre d'incubation pour les jeunes sortants des écoles de formation en journalisme. Pour réaliser ce projet, il a sélectionner 35 de ses étudiants en première année. Mais ces derniers n'ont pas compris qu'il voulait juste leur donner une chance d'avoir une formation solide avant l'obtention du diplôme, confie Coulibaly. "La radio a commencé à émettre le 8 septembre dernier. A ma grande surprise, le vendredi dernier, ces étudiants journalistes m'ont dit lors d'une réunion à la radio, ne plus pouvoir travailler sans percevoir de salaire. Je leur ai répondu que je ne donnerai pas de salaire à un étudiant qui n'a pas de diplômes. Et comme je n'accepte pas de revendications syndicales, je leur ai tous demandé d’arrêter", a laissé entendre Doudou Coulibaly.
Joint au téléphone par nos confrères de Walf Grand Place, ce professeur explique avoir voulu créer un centre d'incubation pour les jeunes sortants des écoles de formation en journalisme. Pour réaliser ce projet, il a sélectionner 35 de ses étudiants en première année. Mais ces derniers n'ont pas compris qu'il voulait juste leur donner une chance d'avoir une formation solide avant l'obtention du diplôme, confie Coulibaly. "La radio a commencé à émettre le 8 septembre dernier. A ma grande surprise, le vendredi dernier, ces étudiants journalistes m'ont dit lors d'une réunion à la radio, ne plus pouvoir travailler sans percevoir de salaire. Je leur ai répondu que je ne donnerai pas de salaire à un étudiant qui n'a pas de diplômes. Et comme je n'accepte pas de revendications syndicales, je leur ai tous demandé d’arrêter", a laissé entendre Doudou Coulibaly.