Etaler son geste de solidarité n’est accepté que si on veut inciter son prochain, aussi nanti, ou mieux loti que soi, à se souvenir des autres ou à se joindre à cet élan.
Qu’en est-il de ce « concours » en cette période de pandémie ? Cette renaissance des associations et des mouvements qui se créent ?
En tout cas, selon les enseignements des érudits, la solidarité islamique va plus loin et recommande même d’imaginer la situation que vit son prochain.
En cette période de pandémie, si cela se traduisait réellement en acte, dans un pays à plus de 95% musulman, peut-être que l’Etat n’aurait pas à mettre certaines sommes pour secourir certains foyers.
L’esprit de solidarité enseigne même cette histoire de deux personnes voisines qui se croisent dans un hopital, l’une très malade parce qu’elle mangeait trop, l’autre graveement malade parce que trop sous-alimentée. Le docetur ébahi explique en quelques mots au premier malade que ce qu’il a en excés donner en soutien au second, tous les deux seriant en très bonne santé.
Le bon musulman est appelé à revoir sa position, et éviter une médiatisation utile, folklorique, se souvenir de ses proches.
N’oublions pas les prières et le retour au CREATEUR...
Qu’en est-il de ce « concours » en cette période de pandémie ? Cette renaissance des associations et des mouvements qui se créent ?
En tout cas, selon les enseignements des érudits, la solidarité islamique va plus loin et recommande même d’imaginer la situation que vit son prochain.
En cette période de pandémie, si cela se traduisait réellement en acte, dans un pays à plus de 95% musulman, peut-être que l’Etat n’aurait pas à mettre certaines sommes pour secourir certains foyers.
L’esprit de solidarité enseigne même cette histoire de deux personnes voisines qui se croisent dans un hopital, l’une très malade parce qu’elle mangeait trop, l’autre graveement malade parce que trop sous-alimentée. Le docetur ébahi explique en quelques mots au premier malade que ce qu’il a en excés donner en soutien au second, tous les deux seriant en très bonne santé.
Le bon musulman est appelé à revoir sa position, et éviter une médiatisation utile, folklorique, se souvenir de ses proches.
N’oublions pas les prières et le retour au CREATEUR...