Le Syndicat des Pharmaciens privés du Sénégal dénonce une illégalité manifeste et sonne la mobilisation. Face à cette spoliation manifeste, les pharmaciens privés n’entendent pas rester les bras croisés.
Se voulant catégoriques, ils estiment qu’« il n’est pas question d’accepter qu’un bailleur, quel qu’il soit, puisse s’arroger le droit de sortir un pharmacien pour en installer un autre. Compte tenu du droit de priorité dont bénéficie Mme Aïcha Goundiam Mbodj et qu’elle a exercé par une option ferme et définitive sur le local, tout bail consenti sur le même local à une autre personne et quel qu’en soit l’objet, est irrégulier et doit être considéré comme nul et de nul effet, car les dispositions de l’article 127 de l’Acte Uniforme OHADA précité, sont d’ordre public », tonnent Dr Assane Diop et ses camarades.
D’un ton terme, ils exigent de la Direction de la Pharmacie et du Médicament et de l’IPRES que Mme Aïcha Goundiam Mbodj, propriétaire de la Grande Pharmacie Dakaroise, puisse jouir pleinement de son droit, notamment par l’établissement d’un contrat de bail à son profit sur le local et l’annulation du contrat de bail établi « irrégulièrement » au profit de la Pharmacie Nation.
Affichant une détermination sans faille, ils avertissent que « le Syndicat des Pharmaciens Privés du Sénégal utilisera tous les moyens légaux pour s’opposer à cette décision et invite tous les pharmaciens à la mobilisation pour le respect des lois et règlements, pour la confraternité et la sauvegarde de l’honorabilité de la profession ».
Se voulant catégoriques, ils estiment qu’« il n’est pas question d’accepter qu’un bailleur, quel qu’il soit, puisse s’arroger le droit de sortir un pharmacien pour en installer un autre. Compte tenu du droit de priorité dont bénéficie Mme Aïcha Goundiam Mbodj et qu’elle a exercé par une option ferme et définitive sur le local, tout bail consenti sur le même local à une autre personne et quel qu’en soit l’objet, est irrégulier et doit être considéré comme nul et de nul effet, car les dispositions de l’article 127 de l’Acte Uniforme OHADA précité, sont d’ordre public », tonnent Dr Assane Diop et ses camarades.
D’un ton terme, ils exigent de la Direction de la Pharmacie et du Médicament et de l’IPRES que Mme Aïcha Goundiam Mbodj, propriétaire de la Grande Pharmacie Dakaroise, puisse jouir pleinement de son droit, notamment par l’établissement d’un contrat de bail à son profit sur le local et l’annulation du contrat de bail établi « irrégulièrement » au profit de la Pharmacie Nation.
Affichant une détermination sans faille, ils avertissent que « le Syndicat des Pharmaciens Privés du Sénégal utilisera tous les moyens légaux pour s’opposer à cette décision et invite tous les pharmaciens à la mobilisation pour le respect des lois et règlements, pour la confraternité et la sauvegarde de l’honorabilité de la profession ».