Entre autres arguments, sa défense a souligné que l’ancien chef de l’État tchadien, "en raison de son âge et du temps froid qu’il fait dans son lieu de détention et de l’humidité, enchaîne grippe, rhume et angine. Cette situation met en exergue des risques patents qui, s’il se voyait contaminé (par la Covid-19), comporteraient des risques considérables sur sa vie."
Par ailleurs, a-t-elle ajouté "qu’à l’approche du mois de ramadan, il serait utile de faire droit à sa demande de permission de six mois pour atténuer les rigueurs du jeûne observé en milieu familial, et lui permettre de récupérer par rapport à la dégradation sérieuse de son état de santé devenu préoccupant."
En juin 2020, l’ancien président tchadien condamné en appel à la prison à perpétuité en 2017, était retourné en prison, à Dakar, après l’expiration de son autorisation de sortie de soixante jours, délivré en raison de la pandémie de Covid-19.
emedia
Par ailleurs, a-t-elle ajouté "qu’à l’approche du mois de ramadan, il serait utile de faire droit à sa demande de permission de six mois pour atténuer les rigueurs du jeûne observé en milieu familial, et lui permettre de récupérer par rapport à la dégradation sérieuse de son état de santé devenu préoccupant."
En juin 2020, l’ancien président tchadien condamné en appel à la prison à perpétuité en 2017, était retourné en prison, à Dakar, après l’expiration de son autorisation de sortie de soixante jours, délivré en raison de la pandémie de Covid-19.
emedia