Dans sa chronique #Contrepoint du samedi dernier, Bachir Fofana rappelait : « Samuel Sarr, ancien ministre et non moins promoteur principal de la centrale électrique West African Energy, serait, selon ses avocats, dans un état de santé préoccupant. Pourtant, une contre-expertise demandée par le juge d’instruction semble lui être favorable. En effet, accusé d’abus de biens sociaux à la suite d’un rapport d’audit, la contre-expertise ordonnée par le juge d’instruction l’a, d’après la presse, blanchi. Mieux, la plainte qu’il a déposée contre son accusateur, est bizarrement restée dans les tiroirs de Ibrahima Ndoye ».
Mais c’est la déclaration du Premier ministre Ousmane Sonko qui vient relancer les spéculations : « Quand je suis arrivé, j'ai dit au président que je prends en main ce dossier... C'est pourquoi nous avons pris ce dossier en main, et nous sommes en train de faire ce que nous devons faire ».
Bachir Fofana s’interroge alors : « Donc, c'est clair maintenant que Samuel Sarr est en prison parce que Sonko le veut ? ».
En filigrane, le journaliste met en lumière une possible instrumentalisation de la justice à des fins politiques, soulevant une question délicate sur la séparation des pouvoirs et la sincérité des procédures engagées.
il s’agit désormais d’une interrogation sur les dérives potentielles du pouvoir exécutif.
Alors ? Ceci explique-t-il cela ? À chacun de tirer ses conclusions.
Mais c’est la déclaration du Premier ministre Ousmane Sonko qui vient relancer les spéculations : « Quand je suis arrivé, j'ai dit au président que je prends en main ce dossier... C'est pourquoi nous avons pris ce dossier en main, et nous sommes en train de faire ce que nous devons faire ».
Bachir Fofana s’interroge alors : « Donc, c'est clair maintenant que Samuel Sarr est en prison parce que Sonko le veut ? ».
En filigrane, le journaliste met en lumière une possible instrumentalisation de la justice à des fins politiques, soulevant une question délicate sur la séparation des pouvoirs et la sincérité des procédures engagées.
il s’agit désormais d’une interrogation sur les dérives potentielles du pouvoir exécutif.
Alors ? Ceci explique-t-il cela ? À chacun de tirer ses conclusions.