Le retour en prison de l’ancien président du Tchad, Hissène Habré, malgré la forte propagation de la Covid-19 dans le pays, inquiète son épouse.
Invitée de l’émission Objection de la radio Sud Fm d’hier, dimanche 12 juillet, l’ancienne Première dame, Fatim Raymond Habré, a déploré la fragilisation de la parole du chef de l’Etat, Macky Sall par le harcèlement du journaliste de France24, non sans indiquer que cela montre qui sont les vrais commanditaires de cette situation dans laquelle se trouve son mari.
Pour elle, cela montre «qui étaient les commanditaires réels, qui étaient intéressés par la situation du président Hissène Habré, qu’il fallait absolument maintenir dans la détention».
D’après Fatim Raymond Habré, «l’harcèlement indécent du journaliste de France24 montre qu’il voulait arracher un engagement du président Macky Sall, pour que le président revienne en prison».
Par ailleurs, l’ancienne Première dame s’est offusquée que son mari soit le seul à retourner en prison alors qu’on a eu 703 détenus qui ont bénéficié d’une liberté conditionnelle sur la base de cette histoire de Covid-19.
« Qu’est-ce qu’on a vu ? Personne n’a été ramené en prison sauf le président ».
Avec Sud
Invitée de l’émission Objection de la radio Sud Fm d’hier, dimanche 12 juillet, l’ancienne Première dame, Fatim Raymond Habré, a déploré la fragilisation de la parole du chef de l’Etat, Macky Sall par le harcèlement du journaliste de France24, non sans indiquer que cela montre qui sont les vrais commanditaires de cette situation dans laquelle se trouve son mari.
Pour elle, cela montre «qui étaient les commanditaires réels, qui étaient intéressés par la situation du président Hissène Habré, qu’il fallait absolument maintenir dans la détention».
D’après Fatim Raymond Habré, «l’harcèlement indécent du journaliste de France24 montre qu’il voulait arracher un engagement du président Macky Sall, pour que le président revienne en prison».
Par ailleurs, l’ancienne Première dame s’est offusquée que son mari soit le seul à retourner en prison alors qu’on a eu 703 détenus qui ont bénéficié d’une liberté conditionnelle sur la base de cette histoire de Covid-19.
« Qu’est-ce qu’on a vu ? Personne n’a été ramené en prison sauf le président ».
Avec Sud