Le feuilleton Sonatel-Global Voice Group est loin de connaître son épilogue. Si le vice-président de Global Voice, M. Serigne Ben Niang s’est donné à cœur joie lors de sa dernière sortie médiatique dans laquelle il a qualifié la Sonatel de « voleur », la Société nationale de télécommunication et Orange Guinée qui parlent de « difamation » lui donnent l’occasion de prouver « ses accusations ». Depuis hier, lundi 2 août, la Sonatel et Orange Guinée ont exécuté leur souhait d’assigner le vice-président de Global Voice en justice. Elles ont porté plainte contre M. Serigne Ben Niang a qui elles ont servi une citation direction auprès du tribunal correctionnel. Cette plainte concerne également la société qui emploi M. Niang en l’occurrence Global Voice Group.
Une source proche de la direction générale de la Sonatel qui nous a donné l’information précise que « cette décision de la Sonatel fait suite aux propos que M. Niang a tenus dans le Soleil du mercredi 28 juillet 2010 à l’encontre de Sonatel et d’Orange Guinée ». Cette même source avance que c’est Me Leyti Ndiaye et Me El Hadj Diouf qui sont chargés de défendre ce dossier pour le compte de la Sonatel. A l’en croire, « M. Niang devra se présenter en correctionnelle le 07 septembre prochain ».
Les menaces de six opérateurs téléphoniques africains
Les rebondissements dans se cette affaire Sonatel-Global Voice n’ont pas uniquement été relevés sur le terrain judiciaire. Notre source avise que six opérateurs africains de téléphonies viennent de demander officiellement à la Sonatel de bloquer le circuit des arrivées au Sénégal. A l’en croire, il s’agit de l’OPT Bénin (Bénin), l’Onatel (Burkina Faso), Camtel (Cameroun), Nitel (Nigéria), Maroc telecom (Maroc), Togo Telecom (Togo). La même source confie que « cette liste pourrait s’allonger dans les prochaines heures et il se pourrait que certains opérateurs nous appliquent la réciprocité (augmentation des tarifs du trafic sortant vers leur destination, donc augmentation du tarif international pour le consommateur Sénégalais) ». A l’en croire : « avec la décision d’augmenter la tarification des appels internationaux entrants ces opérateurs demandent la suspension pour le moment de l’interconnexion avec la Sonatel ».
Déjà en conférence de presse, le jeudi 29 juillet dernier, la Sonatel avait démonté tout l’argumentaire avancé par l’Agence de régulation des télécommunications et des postes (Arpt) qui a tenté de justifier l’arrivée de Global Voice Group. Argument contre argument, Serigne Ben Niang, le vice-président de Global Voice Groupe, dans le Wal Fadjri du 29 juillet 2010, avait rejeté en bloc toutes les accusations des travailleurs de Sonatel sur le contrat de gestion du trafic de communications internationales que l’Etat vient de lui. Dans sa sortie, M. Niang assurait que « l’Etat peut gagner plus de 450 millions de dollars (227 milliards 258 millions de francs) en 5 ans pour financer le développement. Réponse du berger à la bergère, le vice-président de Global Voice pense qu’un « voleur ne peut crier au voleur ou accuser quelqu’un d’autre de voleur ».
sudonline.sn
Une source proche de la direction générale de la Sonatel qui nous a donné l’information précise que « cette décision de la Sonatel fait suite aux propos que M. Niang a tenus dans le Soleil du mercredi 28 juillet 2010 à l’encontre de Sonatel et d’Orange Guinée ». Cette même source avance que c’est Me Leyti Ndiaye et Me El Hadj Diouf qui sont chargés de défendre ce dossier pour le compte de la Sonatel. A l’en croire, « M. Niang devra se présenter en correctionnelle le 07 septembre prochain ».
Les menaces de six opérateurs téléphoniques africains
Les rebondissements dans se cette affaire Sonatel-Global Voice n’ont pas uniquement été relevés sur le terrain judiciaire. Notre source avise que six opérateurs africains de téléphonies viennent de demander officiellement à la Sonatel de bloquer le circuit des arrivées au Sénégal. A l’en croire, il s’agit de l’OPT Bénin (Bénin), l’Onatel (Burkina Faso), Camtel (Cameroun), Nitel (Nigéria), Maroc telecom (Maroc), Togo Telecom (Togo). La même source confie que « cette liste pourrait s’allonger dans les prochaines heures et il se pourrait que certains opérateurs nous appliquent la réciprocité (augmentation des tarifs du trafic sortant vers leur destination, donc augmentation du tarif international pour le consommateur Sénégalais) ». A l’en croire : « avec la décision d’augmenter la tarification des appels internationaux entrants ces opérateurs demandent la suspension pour le moment de l’interconnexion avec la Sonatel ».
Déjà en conférence de presse, le jeudi 29 juillet dernier, la Sonatel avait démonté tout l’argumentaire avancé par l’Agence de régulation des télécommunications et des postes (Arpt) qui a tenté de justifier l’arrivée de Global Voice Group. Argument contre argument, Serigne Ben Niang, le vice-président de Global Voice Groupe, dans le Wal Fadjri du 29 juillet 2010, avait rejeté en bloc toutes les accusations des travailleurs de Sonatel sur le contrat de gestion du trafic de communications internationales que l’Etat vient de lui. Dans sa sortie, M. Niang assurait que « l’Etat peut gagner plus de 450 millions de dollars (227 milliards 258 millions de francs) en 5 ans pour financer le développement. Réponse du berger à la bergère, le vice-président de Global Voice pense qu’un « voleur ne peut crier au voleur ou accuser quelqu’un d’autre de voleur ».
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