
Une fois n’est pas coutume. Un candidat à la «Maison blanche» américaine «déshabillé» à la veille d’une élection. Et c’est un Africain, plus précisément un Sénégalais, qui est l’auteur de cette «liberté». En effet, après avoir «enquêté pendant près de deux ans sur Barack Obama, mené des investigations au Kenya, aux Etats-Unis et en Indonésie», Souleymane Jules Diop a produit un livre intitulé : «Barack Obama, le conquérant africain». Un ouvrage publié aux éditions K-Mat et qui «retrace le parcours d’un des hommes politiques les plus fascinants et les plus énigmatiques de l’histoire des Etats-Unis». Dans un communiqué, parvenu hier au journal Le Quotidien, le journaliste-chroniqueur politique parmi «les plus connus hors du continent africain», dit avoir reçu des «témoignages inédits d’anciens compagnons de son (Barack Obama) père». Ainsi des «révélations» sur ce «conquérant africain que l’opinion internationale connaît très peu» sont à portée de main. Souleymane Jules Diop relève dans son communiqué avoir pris Obama en «chasse» et suivi «pas à pas» son cheminement, pour faire découvrir au public ce premier homme politique de couleur qui pourrait succéder à Georges Bush à la «Maison blanche» en novembre prochain.
M. Diop indique que cet ouvrage «est sorti des imprimeries Transcontinental ce jeudi 4 Septembre 2008, une semaine après la désignation d’Obama comme candidat du Parti démocrate à la Maison Blanche». Déjà sur la couverture de l’ouvrage, l’auteur donne un avant-goût sur les circonstances de la mort «tragique» du père de Barack Obama. Mais «l’influence» qu’il avait sur le probable successeur de Bush pour le façonner de la sorte, est à découvrir à travers les 210 pages du document. «J’y relate dans quelles conditions son père l’a quitté, sa vie au Kenya (…) J’ai fait parler des gens qui ont connu Obama Sr de son vivant (…) Pour la première fois, un livre explique l’organisation qui a permis les victoires du sénateur de l’Illinois depuis son entrée en politique à Chicago jusqu’à sa victoire aux Primaires démocrates», lit-on encore
Par ailleurs, l’ancien conseiller en communication d’Idrissa Seck, alors Premier ministre, s’est prononcé sur l’agression sauvage dont il a été victime récemment à Chicago. Et contrairement à ceux qui l’accusaient de «provocateur» pour avoir «suivi» Me Abdoulaye Wade dans son voyage, Jules Diop leur répond : «J’y étais pour faire entendre la voix de ceux qui souffrent dans mon pays. Mais ce que beaucoup de gens ne savent pas, c’est que j’y étais aussi pour prendre les dernières photos pour la réalisation de la biographie de Barack Obama.» A ce propos, il rend grâce à ceux qui l’ont soutenu ces dernières années pour qu’il puisse mener à bien son projet. Lequel projet, écrit-il, est «l’un des plus ambitieux de ma jeune carrière de journaliste politique».
En tout cas, à ceux qui avaient décidé de soutenir Souleymane Jules Diop dans son combat, il estime que «voilà un bon moyen de le faire, en achetant le livre et en le faisant acheter». Et l’opportunité est donnée au public de s’en procurer avec «la cérémonie de dédicaces du livre», qui se tiendra aujourd’hui «à 16 heures au Club Alizé, au 900, Ontario Est, près Métro Berry». Ce sera aussi l’occasion pour l’auteur de se prêter aux questions des journalistes.
Pour rappel, le prix de ce «chef-d’œuvre» est fixé à 19 dollars et 25 dollars avec les frais d’envoi par la Poste.
M. Diop indique que cet ouvrage «est sorti des imprimeries Transcontinental ce jeudi 4 Septembre 2008, une semaine après la désignation d’Obama comme candidat du Parti démocrate à la Maison Blanche». Déjà sur la couverture de l’ouvrage, l’auteur donne un avant-goût sur les circonstances de la mort «tragique» du père de Barack Obama. Mais «l’influence» qu’il avait sur le probable successeur de Bush pour le façonner de la sorte, est à découvrir à travers les 210 pages du document. «J’y relate dans quelles conditions son père l’a quitté, sa vie au Kenya (…) J’ai fait parler des gens qui ont connu Obama Sr de son vivant (…) Pour la première fois, un livre explique l’organisation qui a permis les victoires du sénateur de l’Illinois depuis son entrée en politique à Chicago jusqu’à sa victoire aux Primaires démocrates», lit-on encore
Par ailleurs, l’ancien conseiller en communication d’Idrissa Seck, alors Premier ministre, s’est prononcé sur l’agression sauvage dont il a été victime récemment à Chicago. Et contrairement à ceux qui l’accusaient de «provocateur» pour avoir «suivi» Me Abdoulaye Wade dans son voyage, Jules Diop leur répond : «J’y étais pour faire entendre la voix de ceux qui souffrent dans mon pays. Mais ce que beaucoup de gens ne savent pas, c’est que j’y étais aussi pour prendre les dernières photos pour la réalisation de la biographie de Barack Obama.» A ce propos, il rend grâce à ceux qui l’ont soutenu ces dernières années pour qu’il puisse mener à bien son projet. Lequel projet, écrit-il, est «l’un des plus ambitieux de ma jeune carrière de journaliste politique».
En tout cas, à ceux qui avaient décidé de soutenir Souleymane Jules Diop dans son combat, il estime que «voilà un bon moyen de le faire, en achetant le livre et en le faisant acheter». Et l’opportunité est donnée au public de s’en procurer avec «la cérémonie de dédicaces du livre», qui se tiendra aujourd’hui «à 16 heures au Club Alizé, au 900, Ontario Est, près Métro Berry». Ce sera aussi l’occasion pour l’auteur de se prêter aux questions des journalistes.
Pour rappel, le prix de ce «chef-d’œuvre» est fixé à 19 dollars et 25 dollars avec les frais d’envoi par la Poste.