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Soukeyna Ndiaye Bâ, nouvel administrateur de la Fondation Grammen Crédit agricole


Rédigé par leral.net le Mercredi 3 Février 2010 à 01:53 | | 3 commentaire(s)|

Soukeyna Ndiaye Bâ, nouvel administrateur de la Fondation Grammen Crédit agricole
L’ancien ministre de la Coopération décentralisée, Soukeyna Ndiaye Bâ a fait honneur à son pays le Sénégal En effet elle a été nommé administrateur de la Fondation Grammen Crédit agricole, a annoncé récemment à Dakar Jean-Luc Perron, délégué général de ladite fondation.
Selon Jean-Luc Perron, c’est au cours d’un conseil d’administration de la Fondation Grammen Crédit agricole que la nomination de Mme Bâ a été proposée.

‘’Soukeyna Ndiaye Bâ a accepté cette proposition. La fondation souhaitait avoir une personnalité expérimentée. Elle (Soukeyna Ndiaye Bâ) pourrait hausser les débats du conseil d’administration’’, a dit M. Perron lors d’un point de presse en marge du Sommet des régions du monde sur la sécurité alimentaire.
Personnalité fortement respectée et engagée depuis 20 ans dans la promotion des femmes par l'entreprise et le microcrédit , Mme Bâ est également Directeur éxécutif d'INAFI et Présidente de Femme Développement Entreprise en Afrique (FDEA) .
‘’C’est un honneur pour moi, pour notre pays et pour l’Afrique. Nous allons essayer de faire de notre mieux pour représenter notre pays, l’Afrique et les femmes’’, a réagit Mme Bâ.

Mme Bâ participera à la réunion du conseil de la Fondation Grammen Crédit agricole prévue ce jour Mercredi 03 Février 2010 à Paris aux cotés notammant du Professeur Yunus Mouhamad et de SAR la Grande Duchesse de Luxembourg

Créée en septembre 2008, la Fondation Grammen Crédit agricole est le fruit d’un partenariat unique entre le groupe Grammen et le Crédit agricole.

Dotée d’un fonds de 50 millions d’euros par Crédit agricole, la fondation a pour objectif d’accompagner le développement des institutions de microfinance (IMF) dans les pays en voie de développement et les pays émergents.



Maoda Malick Mbaye


1.Posté par lamine le 03/02/2010 07:08 | Alerter
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Salam, le concept d'égalité des sexes en Islam sur

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Allez jeter un coup d'oeil et bonne lecture!

2.Posté par MADOU le 03/02/2010 13:09 | Alerter
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Toutes mes félicitations Mme Ba ,et bonne réussite dans vos projets......

3.Posté par Jean-Pierre CANOT le 02/03/2011 14:41 | Alerter
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Finirons-nous par nous apercevoir un jour que la microfinance n’apporte rien et ne peut rien apporter dans l’aide au développement tant que nous nous acharnons à n’en rester qu’à la toute première étape du modèle coopératif qui seul peut apporter la solution ?

LES LIMITES DE LA MICROFINANCE, L’EXEMPLE DE L’AGRICULTURE

La microfinance tend à devenir la panacée à l’ensemble des problèmes de développement, notamment agricole, au point que tous les projets se rapportant à ce dernier ne s’articulent qu’autour du pivot central « crédit » à condition que celui–ci corresponde aux principes de la microfinance.
Dans le début des années 70, Muhammad Yunus développait au Bengladesh le concept de la Grameen Bank. Il partait du principe qu’une somme minime est souvent suffisante pour permettre le démarrage d’une activité, particulièrement dans les campagnes.
Le concept reposait sur les principes ancestraux du mutualisme, les mêmes repris chez nous avec le succès que l’on sait à la fin du 19ème siècle. Ces principes s’appliquaient au Bengladesh à une population homogène dans sa pauvreté absolue.
Grandes furent les difficultés de Muhammad Yunus pour obtenir un appui des bailleurs de fonds internationaux, Banque Mondiale et Fonds Monétaire International considérant que cette initiative au ras des pâquerettes ne pouvait s’inscrire dans le contexte de la mondialisation ou du développement dit durable.
Longtemps décrié et combattu, le système devait il y a peu, non seulement être remis à l’honneur, mais devenir la véritable tarte à la crème de la Banque Mondiale qui n’avait pas manqué au passage de le dénaturer. On ne parle plus désormais en matière de développement agricole dans les pays émergents que de microprojets financés par la microfinance dérivée directement de l’initiative de Muhammad Yunus.
La crise actuelle, où le système bancaire tend à limiter les crédits, est l’occasion pour certains de considérer que le microcrédit est une des solutions, sinon la solution, à cette crise.
Dans la recherche de solutions de financement pour les plus démunis que le système bancaire traditionnel maintient à l’écart de ses interventions, on oublie systématiquement le modèle coopératif qui il y a plus de cent ans apportait la réponse à l’agriculture française notamment.
Muhammad YUNUS et la Grameen Bank du Bengladesh n’ont pourtant quoi qu’on en dise rien inventé du tout, ce qui n’enlève d’ailleurs rien à leur mérite.
La Grammeen Bank, et tous les modèles de microfinance qui en découlent, ne sont que la première étape du modèle coopératif inventé par les Babyloniens. Après l’expérience des pionniers de Rochdale ou des producteurs de micocoulier dans le Gard en France, le système a été il y a cent ans à la base des modèles européens de la coopération agricole, notamment le Crédit Agricole français, que l’on oublie systématiquement dans les programmes de développement au profit du seul modèle de Muhammad YUNUS, prix Nobel de la Paix, porté désormais aux nues.
Le problème est que malgré tous ses mérites, le modèle mis en œuvre dans cette seule première étape, ne marche pas – à l’échelle de l’économie globale – et ne marchera jamais, pas plus d’ailleurs que les modèles coopératifs européens pris dans leur forme actuelle et que nous nous acharnons à développer en vain depuis les indépendances.
Il faut pour mobiliser le maximum de ressource bancaire vers le secteur agricole sous forme de prêts, bancariser les populations rurales de façon à ce que tous les flux financiers résultant de leur activité – essentielle dans les pays en développement, il s’agit du secteur primaire – restent dans ce secteur et ne s’évadent pas vers la banque commerciale. Celle–ci dans la meilleure des hypothèses fera semblant d’aider l’agriculture en avançant des fonds aux organismes de microfinance qu’elle crée la plupart du temps sous forme de filiales.
Ceci est vrai aussi pour les autres secteurs et pour nos pays en ce qui concerne les laissés pour compte du système bancaire traditionnel.
On ne saurait trop insister sur cette nécessité de bancarisation déjà citée des populations les plus pauvres
– C’est une véritable alphabétisation, économique bancaire et comptable qui leur permet d’appréhender des notions simples, ce que ne permet pas la manipulation de la seule monnaie fiduciaire.

– C’est une garantie supplémentaire pour le prêteur que l’emprunteur dispose sur un compte qui enregistre tous ses mouvements financiers, de la ressource nécessaire, résultant de l’activité financée, pour rembourser le crédit.

Ceci implique bien entendu, et ce n’est possible que dans le cadre coopératif, que le principe essentiel d’exclusivisme soit bien respecté, c’est–à–dire que le sociétaire ne puisse pas, au risque d’exclusion du système, ouvrir des comptes et contracter des emprunts dans plusieurs établissements.
Il faut rappeler encore une fois que la dégradation de tous les modèles coopératifs a pour origine principale le non respect de ce principe d’exclusivisme, qui a d’ailleurs été supprimé ou n’a pas été repris dans toutes les lois coopératives mises en place dans les pays en développement, ce qui conduit irrémédiablement à l’échec du système.
– C’est une garantie de création monétaire réelle. Le crédit anticipe en effet la création monétaire par production de biens ou de services.

Celui qui distribue le crédit doit donc s’assurer que le prêt est bien utilisé pour l’objet financé et que son montant ne dépasse pas ( il doit même rester inférieur) la valeur estimée du produit de l’activité financée.
Il est évident que la simple surveillance des mouvements du compte, à condition là aussi que le principe d’exclusivisme soit appliqué et respecté, permet de vérifier que l’anticipation de création monétaire est parfaitement justifiée.
Ce point est d’une cuisante actualité dans la crise économique que nous vivons et qui résulte de dérives bancaires où, dans le cadre d’une économie virtuelle généralisée et mondialisée, les crédits consentis pour des spéculations de tous ordres ont conduit à la création de fausse monnaie avec les conséquences dramatiques que nous n’avons pas fini de vivre.

Cette mobilisation indispensable de la ressource de base qui devra d’ailleurs être complétée notamment pour les investissements longs ne peut se faire qu’au travers du modèle coopératif qui a fait ses preuves depuis des siècles.
Encore faudrait il que ce modèle fut et restât l’authentique, et ne soit pas remplacé par les ersatz infâmes que l’on a vu se développer tant en Afrique que dans les pays communistes et qui ont conduit à la ruine et à l’abandon de ce modèle coopératif .
Ceci ne pourra se faire que par la mise en place de lois et règlements propres à la Coopération, agricole notamment, et qui en retiennent impérativement les authentiques principes de base.
La bancarisation des plus pauvres est de surcroît une des conditions essentielles pour que le système s’il est vraiment d’inspiration coopérative soit construit et fonctionne à partir de la base : les sociétaires ; et il y a bien là une des faiblesses de la microfinance telle qu’elle est conçue jusqu’à présent comme un système construit « d’en bas » et géré « d’en haut ».

Un problème supplémentaire est que l’on entend appliquer les principes de la microfinance d’un intérêt indiscutable par ailleurs à des populations hétérogènes dans leur pauvreté relative.
On se retrouve donc en fait dans une agriculture à deux vitesses : l’une de type industriel, comme chez nous, qui doit se soumettre aux règles de l’Organisation Mondiale du Commerce, l’autre de type social qui concerne la très grande majorité des populations rurales.
On notera au passage que dans le second cas les résultats des actions menées pour atteindre des objectifs sociaux sont mesurés selon des critères uniquement économiques.
Le financement est réalisé pour le premier type, la minorité, par les banques commerciales traditionnelles, pour le second par des systèmes complexes, notamment mutuelles d’épargne et de crédit qui fleurissent à qui mieux mieux sur le plan local, sans aucune coordination nationale, et qui finalement n’arrivent à concerner qu’une « minorité de la majorité » : les plus pauvres parmi les pauvres, les autres devant se débrouiller comme ils peuvent en recourant notamment au crédit informel.
Le résultat désastreux est double :
La ressource d’épargne et de dépôts – qui est une ressource bon marché – en excédent localement ne peut être transférée directement et à prix coûtant chez ceux où elle manque et transite par le système bancaire où elle est, soit utilisée au prix fort au financement des autres secteurs de l’économie, soit réacheminée toujours au prix fort vers les structures de microfinance momentanément déficitaires en ressource.
Ce système encore une fois à deux vitesses, au delà du fait qu’il accroît les déséquilibres liés à deux types de systèmes d’exploitation extrêmes : agriculture de subsistance et agriculture industrielle, a l’inconvénient d’isoler les plus pauvres, les empêchant comme on vient de le voir de profiter de la solidarité au sein de leur groupe même en ce qui concerne la ressource bancaire.

C’est bien au niveau de cette notion de solidarité que se trouve la solution au problème du financement du secteur primaire.
Autant il serait vain en effet de vouloir faire jouer la solidarité du monde agricole en faveur des plus déshérités en isolant ces derniers dans des ghettos, autant il est possible de la mettre en œuvre efficacement dans des systèmes qui intègrent tous les acteurs de ce secteur, ceux momentanément déshérités bénéficiant de l’assistance du groupe.
Bergerac le 3 septembre 2010
Jean-Pierre CANOT
Auteur de « Apprends-nous plutôt à pêcher ! »

http://ehlafrancetoutfoutlecamp.blogs.nouvelobs.com/
http://reviensilssontdevenusfous.blogs.sudouest.com


On croit rêver !

Voilà qu’au Sénégal où il existait une agriculture en plein développement avant l’indépendance on découvre qu’il faut faire de la formation et de la recherche pour mettre en place les meilleures conditions de développement agricole.

On oublie que sous l’administration Française avaient été développées toutes les techniques agricoles mises au point notamment à l’École Nationale d’Agriculture de MAISON-CARRÉE ALGER.
Le dry-farming repris par les Américains a été mis au point là bas, les techniques de construction de barrages et réseaux d’irrigation aussi, de même que la sélection des variétés et espèces à développer en pays chauds.
Les professeurs PASQUIER et PIGUET avaient même développé la lutte antiacridienne qui faisait qu’aucun nuage de sauterelles ne pouvait s’élever en Afrique du Nord ou dans le Sahel sans que les mesures de lutte soient immédiatement mises en place.

De tout cela et de combien d’autres choses il ne reste, notamment au Sénégal RIEN, RIEN RIEN !

Depuis l’indépendance les divers acteurs de l’Aide Publique au Développement AFD, Banque Mondiale, FAO, Union Européenne entre autres, ont investi des millions, au Sénégal en particulier. Tout ceci en vain !

En 2004 un projet de l’Agence Française de Développement prétendait résoudre le problème de la rentabilisation des barrages construits dans les années 80 dans la vallée du fleuve Sénégal.
Le projet présenté notamment par cinq expert Sénégalais de qualité proposait en toute priorité la mise en place d’un système d’organisation professionnelle agricole reposant sur le modèle coopératif – le vrai- dans les domaines humain, technique économique et financier.
Il fut rejeté avec une violence inouïe, notamment par le représentant de la Banque Mondiale.
« Ce que l’on vous demande ce n’est pas d’organiser l’agriculture Sénégalaise, mais de trouver des investisseurs étrangers qui utiliseront les populations locales et exporteront productions et bénéfices » !

« Comment voulez-vous que des investisseurs étrangers s’intéressent à des exploitations de six cents mètres de long sur deux mètres de large où vivent jusqu’à quarante personnes ? », disait cette femme infatigable qui anime des groupe féminins et des Mutuelles d’’Epargne et de Crédit dans la région du fleuve.

C’est la même qui ajoutait : « En Afrique les projets de lutte contre la pauvreté appauvrissent les populations » ! Ou encore :
« La construction des barrages a été une ineptie, l’agriculture vivait mieux avant eux » !

Ce n’est pas la construction de barrages qui est une ineptie, mais la façon dont cela a été fait et surtout le refus encore une fois de mettre en place une organisation professionnelle cohérente et intelligente qui permette au Sénégal de satisfaire avant toute autre chose son autosuffisance alimentaire.

Les réseaux d’irrigation construits à partir des barrages l’ont été à ciel ouvert, ce qui dans un pays dénudé entraine des pertes par évaporation énormes.
On a oublié la technique ancestrales des foggaras, canaux souterrains qui permettaient l’irrigation des zones désertiques notamment les palmeraies du Sahara.
Ces inepties ont fait regretter l’époque des crues fertilisantes que les barrages avaient pour vocation de régulariser, à juste raison d’ailleurs.
Dans les premières années de construction des barrages on est donc allé, suprême imbécillité jusqu’à créer des crues artificielles en ouvrant les barrages, mais cela a été fait quelques semaines après les semis !

Le drame reste que ce pays qui ne survit depuis des années que grâce au Programme Alimentaire Mondial, ne pourra pas retrouver son indépendance dans ce domaine par la seule recherche ou la formation technique fussent-elles américaines ; pas plus d’ailleurs que par le recours à la microfinance devenue la tarte à la crème du développement alors qu’elle n’est que la toute première étape du modèle coopératif, qui doit bien vite être dépassée.

La seule solution reste pour l’indispensable organisation professionnelle agricole, le recours à ce modèle coopératif, le vrai encore une fois, celui qui a permis il y a quelques 130 ans aux agricultures européenne et notamment française de se développer lorsqu’elles étaient dans la situation de celles que nous n’arrivons pas à aider aujourd’hui.


30 janvier 2011

Jean-Pierre Canot
Auteur de « Apprends-nous plutôt à pêcher ! »
http://reviensilssontdevenusfous.blogspot.com/
http://reviensilssontdevenusfous.blogs.sudouest.com



Quand on connaît la situation de l’Agriculture, du Sénégal activité essentielle de ce pays, et de son impossibilité à atteindre son autosuffisance alimentaire, on peut se demander si c’est bien ce pays qui au Salon de l’Agriculture entend faire bonne figure en présentant un secteur agricole en plein développement.

Lorsque le ministre du Commerce déclarait il y a quelques jours que le Sénégal a désormais atteint son autosuffisance alimentaire et qu’il exporte pour une valeur de 3 milliards de francs CFA par an, on peut se demander si c’est du même Sénégal que l’on parle, vue l’importance du Programme Alimentaire mondial pour ce pays, ou celle des importations de céréales citées par diverses sources.

Il est d’ailleurs au passage intéressant de comparer ce chiffre de 3 milliards avec celui de 300 milliards de mêmes francs CFA qui en 2004 représentait la manne apportée à ce pays par la diaspora Sénégalaise en France.
Les malheureux émigrés partis souvent au risque de leur vie gagner quelque argent en Europe sont d’ailleurs rançonnés de quelques 10 % lors du transfert de cet argent à leur famille.
Drame supplémentaire ces sommes ne sont pas réinvesties dans le secteur économique, mais pour ce qui ne sert pas à nourrir les bouches affamées sont thésaurisées ou placées dans des investissements de prestige ou dans des banques commerciales qui en font n’importe quoi.

La situation dramatique de ce pays, comme celle de tous les pays d’Afrique, ne tient pas à l’héritage de la colonisation où tout était mis en œuvre pour permettre d’atteindre l’autosuffisance alimentaire, mais aux conditions dans lesquelles est appliquée l’Aide Publique au Développement : véritable calamité pour cette femme qui se bat inlassablement dans la vallée du fleuve et qui déclare : « En Afrique les projets de Lutte contre la pauvreté appauvrissent les populations ».

Nous les pays dits riches avons une lourde responsabilité dans la faillite de l’aide publique au développement où nous ne faisons que rechercher notre profit.

« /… Ne pas avoir peur de dire aux Africains qu’on veut les aider, mais qu’on veut aussi que cela nous rapporte… /… » .
C’est l’ancien Secrétaire d’État français à la coopération qui le dit.

L’échec de l’Aide Publique au développement n’est pas dû aux sommes mises en jeu, mais à leur très mauvaise utilisation.
Il faut dans ces pays donner la priorité absolue à l’atteinte de l’autosuffisance alimentaire, par le développement du secteur agricole dont l’organisation doit impérativement passer par le modèle coopératif, le vrai, celui qui depuis cent trente ans a permis à nos agricultures de se développer jusqu’à ce que nous l’ayons hélas abandonné.

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