Par ailleurs, M. Teliko estime que «dans nos sociétés modernes, la simple proclamation de la séparation des pouvoirs ne suffit pas à garantir l’équilibre des pouvoirs. C’est un postulat universellement admis que lorsque, dans un Etat quelconque, l’Exécutif se donne le moyen de choisir les juges et les procureurs, le risque d’instrumentalisation devient réel».
Pour ce qui est de la nomination des magistrats, le président de l’Ums croit fermement que la part du lion revient à l’Exécutif. «90% des juges sont en situation d’intérim et donc susceptibles d’être déplacés à tout moment», précise-t-il lors de son entrevue.
Actusen.com
Pour ce qui est de la nomination des magistrats, le président de l’Ums croit fermement que la part du lion revient à l’Exécutif. «90% des juges sont en situation d’intérim et donc susceptibles d’être déplacés à tout moment», précise-t-il lors de son entrevue.
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