Farba Ngom, député-maire des Agnam, risque de perdre son immunité parlementaire et bien plus encore, mais il peut compter sur l’appui de ses frères de parti et ses «amis foutankais», pour le défendre face au régime du Président Diomaye Faye. Selon "Les Échos", après la démonstration de force de l’Alliance pour la République (Apr) lors d’un grand rassemblement à son siège, un mouvement dénommé «Les amis de Farba» a organisé une collecte de fonds, qui a permis de réunir plus de 19 millions de francs Cfa, afin d’entamer la lutte contre ce qu’ils qualifient de persécution. Une « grande marche de résistance » est d’ailleurs prévue le jeudi 23 janvier prochain, lit-on dans "Senenews".
Farba Ngom ne sera pas seul dans cette épreuve. Le chargé de mobilisation de l’Apr, visé par une procédure judiciaire, bénéficie d’un soutien massif. Toujours selon "Les Échos", depuis l’annonce de l’affaire le concernant, qui découle du rapport de la CENTIF, les élans de solidarité en sa faveur se multiplient. Lors du rassemblement au siège du parti le 16 décembre dernier, plusieurs responsables politiques ont affirmé leur volonté de s’ériger en bouclier contre cet «acharnement». Me Moussa Bocar Thiam, qui a lu la résolution du parti, a illustré cet engagement sans équivoque.
Au niveau de l’Assemblée nationale, la ministre Me Aïssata Tall Sall, en chef d’orchestre, a été très claire : aucune compromission ne sera tolérée. Selon "Les Échos", les collègues députés de Farba Ngom, membres de la coalition Takku-Wallu, ont également promis de mener ce combat au sein de l’hémicycle. Elle a d’ailleurs donné rendez-vous au jour de la séance plénière, pour restituer les conclusions de la commission ad hoc chargée d’étudier la demande de levée de l’immunité parlementaire.
Dans le même temps, les partisans de Farba Ngom, notamment les inconditionnels du Fouta, ont lancé une série d’initiatives en sa faveur. Selon les informations recueillies par Les Échos, ils dénoncent une tentative de liquidation politique de leur leader et appellent à une mobilisation générale. La collecte de fonds organisée dans ce cadre, a permis de réunir la somme exacte de 19 700 000 francs Cfa.
Voici quelques exemples des contributions : un importateur a offert 5 millions de francs, un opérateur économique a versé 3 millions et un Sénégalais vivant aux États-Unis, a contribué à hauteur de 2 millions. Les Sénégalais établis en France ont, quant à eux, rassemblé 1 716 100 francs Cfa, tandis que ceux vivant au Gabon, ont offert 1 620 000 francs Cfa. Toujours selon "Les Échos", d’autres contributions en nature ont également été enregistrées : un chameau, deux moutons, deux bus, dix minicars avec leur carburant et chauffeurs, cinq sacs d’oignons, une tonne de riz et 1 000 litres de carburant ont été généreusement offerts pour soutenir cette mobilisation.
Ainsi, la « grande marche de résistance » prévue le 23 janvier prochain, s’annonce comme un événement majeur dans la stratégie de défense de Farba Ngom et dans la dénonciation d’une supposée persécution politique.
Farba Ngom ne sera pas seul dans cette épreuve. Le chargé de mobilisation de l’Apr, visé par une procédure judiciaire, bénéficie d’un soutien massif. Toujours selon "Les Échos", depuis l’annonce de l’affaire le concernant, qui découle du rapport de la CENTIF, les élans de solidarité en sa faveur se multiplient. Lors du rassemblement au siège du parti le 16 décembre dernier, plusieurs responsables politiques ont affirmé leur volonté de s’ériger en bouclier contre cet «acharnement». Me Moussa Bocar Thiam, qui a lu la résolution du parti, a illustré cet engagement sans équivoque.
Au niveau de l’Assemblée nationale, la ministre Me Aïssata Tall Sall, en chef d’orchestre, a été très claire : aucune compromission ne sera tolérée. Selon "Les Échos", les collègues députés de Farba Ngom, membres de la coalition Takku-Wallu, ont également promis de mener ce combat au sein de l’hémicycle. Elle a d’ailleurs donné rendez-vous au jour de la séance plénière, pour restituer les conclusions de la commission ad hoc chargée d’étudier la demande de levée de l’immunité parlementaire.
Dans le même temps, les partisans de Farba Ngom, notamment les inconditionnels du Fouta, ont lancé une série d’initiatives en sa faveur. Selon les informations recueillies par Les Échos, ils dénoncent une tentative de liquidation politique de leur leader et appellent à une mobilisation générale. La collecte de fonds organisée dans ce cadre, a permis de réunir la somme exacte de 19 700 000 francs Cfa.
Voici quelques exemples des contributions : un importateur a offert 5 millions de francs, un opérateur économique a versé 3 millions et un Sénégalais vivant aux États-Unis, a contribué à hauteur de 2 millions. Les Sénégalais établis en France ont, quant à eux, rassemblé 1 716 100 francs Cfa, tandis que ceux vivant au Gabon, ont offert 1 620 000 francs Cfa. Toujours selon "Les Échos", d’autres contributions en nature ont également été enregistrées : un chameau, deux moutons, deux bus, dix minicars avec leur carburant et chauffeurs, cinq sacs d’oignons, une tonne de riz et 1 000 litres de carburant ont été généreusement offerts pour soutenir cette mobilisation.
Ainsi, la « grande marche de résistance » prévue le 23 janvier prochain, s’annonce comme un événement majeur dans la stratégie de défense de Farba Ngom et dans la dénonciation d’une supposée persécution politique.