Les collectifs communautaires contre l’accaparement des terres, s’insurgent contre ce phénomène dans la vallée du fleuve Sénégal.
«La vallée du fleuve Sénégal est actuellement le symbole de la spoliation des terres. Parce qu’il y a énormément de multinationales d’agrobusiness, qui accaparent et lapident les terres cultivables et continuent à étendre leurs terres cultivables, sans droit ni titre au détriment de la population.
Il y a une multinationale qui a acheté dans des conditions illégales et nébuleuses, 26 hectares de terres», dénonce Dr. Mbaye Cissé, président du Réseau de la vallée du fleuve Sénégal contre l’accaparement des terres et la dégradation de l’environnement.
«Nous dénonçons la spoliation des terres de manière générale», note-t-il. Avec le programme d’autosuffisance alimentaire, il faut aller vers une maîtrise des contentieux sociaux.
«Certes, nous nous familiarisons avec le «Projet», mais on pense que si on ne vide pas les contentieux fonciers qui se déroulent actuellement au niveau de la vallée, il ne va pas réussir. Il faut que le président de la République se donne les moyens de récupérer toutes les terres cultivables et arables et les redistribue aux populations», appuie-t-il.
«Mbour 4 n’est qu’une petite portion de ce qui se passe dans la vallée du fleuve Sénégal», insiste-t-il.
«La vallée du fleuve Sénégal est actuellement le symbole de la spoliation des terres. Parce qu’il y a énormément de multinationales d’agrobusiness, qui accaparent et lapident les terres cultivables et continuent à étendre leurs terres cultivables, sans droit ni titre au détriment de la population.
Il y a une multinationale qui a acheté dans des conditions illégales et nébuleuses, 26 hectares de terres», dénonce Dr. Mbaye Cissé, président du Réseau de la vallée du fleuve Sénégal contre l’accaparement des terres et la dégradation de l’environnement.
«Nous dénonçons la spoliation des terres de manière générale», note-t-il. Avec le programme d’autosuffisance alimentaire, il faut aller vers une maîtrise des contentieux sociaux.
«Certes, nous nous familiarisons avec le «Projet», mais on pense que si on ne vide pas les contentieux fonciers qui se déroulent actuellement au niveau de la vallée, il ne va pas réussir. Il faut que le président de la République se donne les moyens de récupérer toutes les terres cultivables et arables et les redistribue aux populations», appuie-t-il.
«Mbour 4 n’est qu’une petite portion de ce qui se passe dans la vallée du fleuve Sénégal», insiste-t-il.