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Stéphane Bern : Sans enfant et pas marié, l’ani­ma­teur révèle le contenu de son testa­ment:« Je peux mourir tranquille ! »

Rédigé par leral.net le Mercredi 14 Juin 2017 à 00:10 | | 0 commentaire(s)|

Stéphane Bern voit loin. Dans un entre­tien qu’il vient d’ac­cor­der à l’oc­ca­sion de la nouvelle saison de son émis­sion sur les villages préfé­rés des Français, l’ani­ma­teur a révélé ce que devien­dra son patri­moine une fois disparu. Sans enfant et pas marié, la chose est évidente pour lui.

Mercato oblige, Stéphane Bern n’échappe pas à l’in­ter­view fin de saison dans les colonnes du Figaro. À l’oc­ca­sion de son retour dans Le village préféré des Français ce soir, leur anima­teur préféré s’y montre rassu­rant quant à son avenir sur France 2. 

« À la rentrée, je crains d’être le seul rescapé des après-midi, avec l’autre pilier qu’est Nagui, plus tard, constate-t-il. J’ai l’as­su­rance que la chaîne me veut, aussi je tourne des pilotes d’émis­sions. Dans le métier, on sait qu’il ne faut jamais tout casser en même temps. » 

Selon lui, personne en interne n’a contesté la qualité de Visites privées, son émis­sion quoti­dienne, « mais les gens ne la regar­daient pas. Je donne raison au public. J’ac­cep­te­rai de parler animaux, brico­lage, brocante ; en revanche, je refu­se­rai de faire le pitre, d’être dans la rigo­lade pure. »

 
 

Confiant sur son année à venir, c’est bien plus loin que Stéphane Bern regarde égale­ment.

Sans enfant, pas marié (mais en couple) et à la tête d’un patri­moine consé­quent, l’ani­ma­teur star de France Télé­vi­sions a tout prévu en cas de dispa­ri­tion. Il n’est pas ques­tion d’un partage entre les membres de sa famille, mais d’un don bien plus citoyen. 

« Mon ADN n’est pas à ce point génial qu’il faille me repro­duire, souligne-t-il. À ma mort, je légue­rai tout à la France ! Tout sera mis à la dispo­si­tion du public, via la Fonda­tion Stéphane Bern pour l’his­toire et le patri­moine, qui récom­pense chaque année des savoir-faire. Tous mes papiers sont en ordre, je peux mourir tranquille ! Même la maison privée sera ouverte au public. La famille mettrait tout en vente ; j’ai davan­tage confiance en la France ! » Ses proches appré­cie­ront !