Bambilor ne peut faire face à ses problèmes de santé. Devant les bâtiments du centre de santé de la localité, les patients affluent chaque jour. Un homme gît par-ci au sol, blessé aux jambes, à demi-nu, en attendant d'être pris en charge.
Assise sur une chaise roulante dont on essaye de la déloger, une jeune femme fait une crise de nerfs, le regard fou. Une maman, perdue, porte son enfant au visage tuméfié. L’inquiétude sanitaire a dépassé son paroxysme dans cette zone, où les malades semblent abandonnés à leur sort.
À Bambilor, la situation sanitaire qui prévaut dans la localité, n’est guère reluisante. Les ruptures de stocks s'amplifient à côté du niveau trop bas du plateau technique d’une structure de santé qui reçoit des malades de tous genres, en provenance de toutes les zones environnantes.
«Imaginez un peu la déconvenue d’un patient obligé de se rendre jusqu’à Pikine ou Dakar, pour des analyses», fulmine un patient. Le centre de santé de Bambilor enregistre indéniablement, une assez importante affluence de malades en consultation.
Cet afflux s’explique par le poids démographique de la commune, qui s’étend sur une superficie de plusieurs centaines de kilomètres carrés et la position géographique de la localité.
Mais, ce sont surtout les locaux et le manque de personnel, qui sont les principaux maux de la structure de santé, qui vit une situation symptomatique du manque de personnel qui y prévaut. Ne dit-on pas dit que la «santé passe richesse» ?
Toujours à Bambilor, la disponibilité d’un personnel et le relèvement du plateau aideront pour un meilleur accès aux soins sur place et à moindre coût. Ils permettront également de sauver des vies, car dans certaines périodes, notamment la période hivernale, les évacuations d’urgence sont difficiles, à cause de l’enclavement de la localité. Sous un autre registre, celui de l’éducation, la localité est confrontée à de réels problèmes de prise en charge de sa population scolaire.
Avec l’érection de nouvelles habitations et l’affluence des coopératives d’habitat, la situation scolaire est préoccupante à Bambilor qui ne dispose d’assez d’écoles pour les apprenants, qui sont obligés de se déplacer jusqu’à Rufisque, distant de plusieurs dizaines de kilomètres, pour poursuivre leurs études.
Assise sur une chaise roulante dont on essaye de la déloger, une jeune femme fait une crise de nerfs, le regard fou. Une maman, perdue, porte son enfant au visage tuméfié. L’inquiétude sanitaire a dépassé son paroxysme dans cette zone, où les malades semblent abandonnés à leur sort.
À Bambilor, la situation sanitaire qui prévaut dans la localité, n’est guère reluisante. Les ruptures de stocks s'amplifient à côté du niveau trop bas du plateau technique d’une structure de santé qui reçoit des malades de tous genres, en provenance de toutes les zones environnantes.
«Imaginez un peu la déconvenue d’un patient obligé de se rendre jusqu’à Pikine ou Dakar, pour des analyses», fulmine un patient. Le centre de santé de Bambilor enregistre indéniablement, une assez importante affluence de malades en consultation.
Cet afflux s’explique par le poids démographique de la commune, qui s’étend sur une superficie de plusieurs centaines de kilomètres carrés et la position géographique de la localité.
Mais, ce sont surtout les locaux et le manque de personnel, qui sont les principaux maux de la structure de santé, qui vit une situation symptomatique du manque de personnel qui y prévaut. Ne dit-on pas dit que la «santé passe richesse» ?
Toujours à Bambilor, la disponibilité d’un personnel et le relèvement du plateau aideront pour un meilleur accès aux soins sur place et à moindre coût. Ils permettront également de sauver des vies, car dans certaines périodes, notamment la période hivernale, les évacuations d’urgence sont difficiles, à cause de l’enclavement de la localité. Sous un autre registre, celui de l’éducation, la localité est confrontée à de réels problèmes de prise en charge de sa population scolaire.
Avec l’érection de nouvelles habitations et l’affluence des coopératives d’habitat, la situation scolaire est préoccupante à Bambilor qui ne dispose d’assez d’écoles pour les apprenants, qui sont obligés de se déplacer jusqu’à Rufisque, distant de plusieurs dizaines de kilomètres, pour poursuivre leurs études.