Après trois jours d'échanges et de discussions fructueuses, le symposium dédié aux défis de l'état-civil en Afrique francophone, a pris fin. Les organisateurs saluent unanimement cette rencontre comme un succès majeur, soulignant l'impact attendu de ces échanges pour l'avènement d'une société dépourvue d'apatrides.
Aliou Ousmane Sall, président de l'Agence nationale de l'État-Civil, a exprimé son contentement quant à la teneur des débats et à la qualité des échanges qui ont eu lieu au cours de ces trois journées. Selon lui, ces discussions ont jeté les bases d'une réflexion approfondie et ont permis de tracer des pistes concrètes, pour relever les défis auxquels est confronté l'état-civil en Afrique francophone.
"Ce symposium a été une plateforme d'échanges unique en son genre. Nous avons eu l'opportunité de discuter des enjeux fondamentaux liés à l'état-civil dans nos pays respectifs. Les perspectives et les solutions évoquées au cours de ces trois jours, nous donnent l'espoir d'un avenir où chaque individu pourra jouir pleinement de ses droits, sans risque de se retrouver apatride", a déclaré Aliou Ousmane Sall, lors de la clôture de l'événement.
Les thèmes abordés ont été multiples et variés, allant de l'importance de la documentation et de l'enregistrement à la lutte contre l'apatridie, en passant par les avancées technologiques et les collaborations internationales. Les délégués présents ont partagé leurs expériences et leurs meilleures pratiques, offrant ainsi un terrain fertile pour l'émergence de nouvelles stratégies et de partenariats innovants.
La conclusion du symposium a été marquée par un optimisme palpable, quant à la mise en œuvre des recommandations issues de ces échanges. Les organisateurs se sont engagés à travailler en collaboration étroite avec les institutions nationales et internationales, pour concrétiser les idées discutées et assurer une amélioration significative de l'état-civil dans les pays concernés.
Ce symposium, par son engagement collectif et ses résultats prometteurs, ouvre la voie à un avenir où chaque individu en Afrique francophone, pourra bénéficier pleinement de ses droits civiques grâce à un état-civil efficace et inclusif.
Aliou Ousmane Sall, président de l'Agence nationale de l'État-Civil, a exprimé son contentement quant à la teneur des débats et à la qualité des échanges qui ont eu lieu au cours de ces trois journées. Selon lui, ces discussions ont jeté les bases d'une réflexion approfondie et ont permis de tracer des pistes concrètes, pour relever les défis auxquels est confronté l'état-civil en Afrique francophone.
"Ce symposium a été une plateforme d'échanges unique en son genre. Nous avons eu l'opportunité de discuter des enjeux fondamentaux liés à l'état-civil dans nos pays respectifs. Les perspectives et les solutions évoquées au cours de ces trois jours, nous donnent l'espoir d'un avenir où chaque individu pourra jouir pleinement de ses droits, sans risque de se retrouver apatride", a déclaré Aliou Ousmane Sall, lors de la clôture de l'événement.
Les thèmes abordés ont été multiples et variés, allant de l'importance de la documentation et de l'enregistrement à la lutte contre l'apatridie, en passant par les avancées technologiques et les collaborations internationales. Les délégués présents ont partagé leurs expériences et leurs meilleures pratiques, offrant ainsi un terrain fertile pour l'émergence de nouvelles stratégies et de partenariats innovants.
La conclusion du symposium a été marquée par un optimisme palpable, quant à la mise en œuvre des recommandations issues de ces échanges. Les organisateurs se sont engagés à travailler en collaboration étroite avec les institutions nationales et internationales, pour concrétiser les idées discutées et assurer une amélioration significative de l'état-civil dans les pays concernés.
Ce symposium, par son engagement collectif et ses résultats prometteurs, ouvre la voie à un avenir où chaque individu en Afrique francophone, pourra bénéficier pleinement de ses droits civiques grâce à un état-civil efficace et inclusif.