Un débat se pose à nous. Des voix discordantes se sont prononcées contre Amadou Bâ. Venant de l’opposition, c’est tout à fait normal car, désormais, Amadou Bâ est l’homme à défaire lors des prochaines joutes électorales. Mais du côté de BBY, c’est très peu compréhensible ! Devrait-il endosser en plus l’adversité de certains de ses camarades au sein de la mouvance ? Le seul argument qu’ils opposent, est qu’ils pensent être meilleurs que lui. Mais est-ce tout à fait le cas ?
S’il nous était donné d’apprécier les raisons qui ont présidé au choix du Premier Ministre Amadou Bâ, comme candidat à la succession de l’actuel président de la République, nous pouvons sans risque de nous tromper, soutenir que l’homme de la banlieue dakaroise, est d’abord, et avant tout, soucieux du respect des institutions de la République, c’est un républicain dans l’âme, avec une parfaite maîtrise de toutes les arcanes de l’administration. C’est en cela, entre autres, qu’il se démarque.
En effet, il est un pur produit de l’administration sénégalaise : animé donc par la discrétion, le devoir de réserve, la posture d’homme d’Etat, la loyauté, la sincérité, l’honnêteté, la transparence dans la gestion des affaires publiques et le service aux populations. Il est connu pour sa compétence et sa personnalité. C’est quelqu’un de très intègre et imbu de plusieurs valeurs.
Bien que membre de la mouvance présidentielle depuis 2012, nul n’a jusqu’ici entendu Amadou Bâ se prononcer publiquement sur les affaires politiques qui ont secoué le Sénégal tout entier, ces dernières années. C’est dire combien l’homme fait la part entre ses fonctions d’homme d’Etat et son appartenance à une famille politique.
Amadou Bâ est ainsi un homme d’Etat constamment à la recherche du consensus dans ses processus de prise de décision. On le voit bien car, malgré un climat politique extrêmement polarisé, le candidat de BBY, en tant que Premier Ministre, a cherché à rassembler un large éventail d'opinions, de groupes et de partis politiques, pour gouverner de manière collaborative.
Peu prolixe, il est avant tout un homme qui aime s’accompagner de personnalités compétentes. Alors Ministre de l’Economie et des Finances, il s’est entouré des meilleures compétences de l’administration sénégalaise, pour lancer la première phase du PSE. Son leadership a été salué lors des réformes majeures du Code Général des Impôts. Un code consensuel qui a nécessité beaucoup de négociations avec le secteur privé et les centrales syndicales. Ces dernières réformes ont abouti à l’augmentation progressive du budget national du Sénégal, tout en attirant l’Investissement Direct Etranger (IDE).
Avec un leadership soutenu, l’ancien Directeur général des Impôts et Domaines, a participé à donner vie au PSE et à impulser la transformation structurelle de l’économie sénégalaise. Au-delà de ses qualités d’administrateur rompu à la tâche, les observateurs de la scène politique sénégalaise s’accordent tous, à lui reconnaître une capacité d’écoute très peu commune. Amadou Bâ est attentif aux préoccupations et aux opinions de toutes les parties prenantes du pays, qu'elles soient politiques, sociales, économiques ou culturelles. Il accorde une grande importance à l'écoute active.
Nous pouvons tout aussi nous rendre compte que le choix porté sur Amadou Bâ, consacre sa capacité d’inclusion. Dans toute sa démarche de gestion, l’homme tente autant que faire se peut, d'inclure un large éventail de voix et de perspectives dans le processus de prise de décisions. Il consulte beaucoup afin d’amener le maximum d’acteurs (politiques, société civile, etc.), à s’accorder autour de l’essentiel, pour une plus grande efficacité.
Le respect qu’il accorde aux opinions des autres, n’est pas en reste. Malgré les critiques de l’opposition et de la société civile, le Premier Ministre Amadou Bâ accorde une grande importance au respect de la liberté d'expression et de l'État de droit. Il s’évertue à créer un environnement propice au dialogue et à la diversité d'opinions. Il agit ainsi de manière transparente. Est-il d’ailleurs besoin de rappeler qu’il a lui-même soutenu particulièrement, la promotion du code de transparence de l’administration sénégalaise ; lequel a balisé la voie aux investisseurs et rassurer les partenaires techniques et financiers, quant à la transparence dans la dépense des derniers publics (loi n° 2012-22 du 27 décembre 2012 portant Code de Transparence dans la Gestion des Finances publiques). A tout cela, vient s’ajouter son riche portefeuille international.
Ses différentes expériences en tant que Ministre des Finances et Ministre des Affaires Etrangères, lui ont permis de faire de la coopération et de la diplomatie internationale, les piliers de l’essor économique du Sénégal. Il est respecté par les institutions financières internationales, pour son pragmatisme, sa capacité à gérer les crises, son leadership inclusif, son souci permanent de la stabilité politique, sa vision à long terme.
Ce parcours dans l’attelage gouvernemental, fait de lui un homme de réseaux, avec un carnet d’adresses bien fourni, un élément indispensable pour tout leader qui aspire à diriger un pays. Il a ses entrées au niveau de l’aéropage de la finance internationale, un positionnement avantageux, eu égard au fait qu’il peut capter des financements internationaux au profit du développement de notre économie.
Au-delà de ces caractéristiques, Amadou Bâ est « zoon politcon » au sens aristotélicien du terme. C’est-à-dire que c’est un être profondément social, dont les qualités humaines sont reconnues de tous ceux qui l’ont approché, en premier, ses parents et sa famille élargie. Il ne rechigne jamais à être présent aux évènements heureux comme malheureux dans sa famille.
Pour toutes ces raisons, on voit donc ici que le Premier Ministre Amadou Bâ est bel et bien le candidat de la « Transformation Structurelle de l’Economie et de l’Industrialisation ».
La population sénégalaise fait face à des difficultés quotidiennes et cherche un candidat de l’unité nationale, capable d’apporter des solutions durables à leurs problèmes, comme il l’a laissé entendre lors d’un entretien « Quand on est chef du gouvernement, on est au service de l'État, de la République et des citoyens. Mon engagement et mon éthique personnelle, m'imposent de conduire fermement les affaires de l'État, jusqu'au dernier jour, avec loyauté, quel que soit le contexte politique ou l'actualité du moment ».
Le Sénégal a besoin d’un homme aux qualités d'humilité, d'écoute, pour diriger, pour rassembler. Alors, à la vue de ce qui précède, qui mieux qu’Amadou Bâ ?
Abdoulaye Thiam,
Président du Mouvement pour le Développement et le Progrès (MPD)
S’il nous était donné d’apprécier les raisons qui ont présidé au choix du Premier Ministre Amadou Bâ, comme candidat à la succession de l’actuel président de la République, nous pouvons sans risque de nous tromper, soutenir que l’homme de la banlieue dakaroise, est d’abord, et avant tout, soucieux du respect des institutions de la République, c’est un républicain dans l’âme, avec une parfaite maîtrise de toutes les arcanes de l’administration. C’est en cela, entre autres, qu’il se démarque.
En effet, il est un pur produit de l’administration sénégalaise : animé donc par la discrétion, le devoir de réserve, la posture d’homme d’Etat, la loyauté, la sincérité, l’honnêteté, la transparence dans la gestion des affaires publiques et le service aux populations. Il est connu pour sa compétence et sa personnalité. C’est quelqu’un de très intègre et imbu de plusieurs valeurs.
Bien que membre de la mouvance présidentielle depuis 2012, nul n’a jusqu’ici entendu Amadou Bâ se prononcer publiquement sur les affaires politiques qui ont secoué le Sénégal tout entier, ces dernières années. C’est dire combien l’homme fait la part entre ses fonctions d’homme d’Etat et son appartenance à une famille politique.
Amadou Bâ est ainsi un homme d’Etat constamment à la recherche du consensus dans ses processus de prise de décision. On le voit bien car, malgré un climat politique extrêmement polarisé, le candidat de BBY, en tant que Premier Ministre, a cherché à rassembler un large éventail d'opinions, de groupes et de partis politiques, pour gouverner de manière collaborative.
Peu prolixe, il est avant tout un homme qui aime s’accompagner de personnalités compétentes. Alors Ministre de l’Economie et des Finances, il s’est entouré des meilleures compétences de l’administration sénégalaise, pour lancer la première phase du PSE. Son leadership a été salué lors des réformes majeures du Code Général des Impôts. Un code consensuel qui a nécessité beaucoup de négociations avec le secteur privé et les centrales syndicales. Ces dernières réformes ont abouti à l’augmentation progressive du budget national du Sénégal, tout en attirant l’Investissement Direct Etranger (IDE).
Avec un leadership soutenu, l’ancien Directeur général des Impôts et Domaines, a participé à donner vie au PSE et à impulser la transformation structurelle de l’économie sénégalaise. Au-delà de ses qualités d’administrateur rompu à la tâche, les observateurs de la scène politique sénégalaise s’accordent tous, à lui reconnaître une capacité d’écoute très peu commune. Amadou Bâ est attentif aux préoccupations et aux opinions de toutes les parties prenantes du pays, qu'elles soient politiques, sociales, économiques ou culturelles. Il accorde une grande importance à l'écoute active.
Nous pouvons tout aussi nous rendre compte que le choix porté sur Amadou Bâ, consacre sa capacité d’inclusion. Dans toute sa démarche de gestion, l’homme tente autant que faire se peut, d'inclure un large éventail de voix et de perspectives dans le processus de prise de décisions. Il consulte beaucoup afin d’amener le maximum d’acteurs (politiques, société civile, etc.), à s’accorder autour de l’essentiel, pour une plus grande efficacité.
Le respect qu’il accorde aux opinions des autres, n’est pas en reste. Malgré les critiques de l’opposition et de la société civile, le Premier Ministre Amadou Bâ accorde une grande importance au respect de la liberté d'expression et de l'État de droit. Il s’évertue à créer un environnement propice au dialogue et à la diversité d'opinions. Il agit ainsi de manière transparente. Est-il d’ailleurs besoin de rappeler qu’il a lui-même soutenu particulièrement, la promotion du code de transparence de l’administration sénégalaise ; lequel a balisé la voie aux investisseurs et rassurer les partenaires techniques et financiers, quant à la transparence dans la dépense des derniers publics (loi n° 2012-22 du 27 décembre 2012 portant Code de Transparence dans la Gestion des Finances publiques). A tout cela, vient s’ajouter son riche portefeuille international.
Ses différentes expériences en tant que Ministre des Finances et Ministre des Affaires Etrangères, lui ont permis de faire de la coopération et de la diplomatie internationale, les piliers de l’essor économique du Sénégal. Il est respecté par les institutions financières internationales, pour son pragmatisme, sa capacité à gérer les crises, son leadership inclusif, son souci permanent de la stabilité politique, sa vision à long terme.
Ce parcours dans l’attelage gouvernemental, fait de lui un homme de réseaux, avec un carnet d’adresses bien fourni, un élément indispensable pour tout leader qui aspire à diriger un pays. Il a ses entrées au niveau de l’aéropage de la finance internationale, un positionnement avantageux, eu égard au fait qu’il peut capter des financements internationaux au profit du développement de notre économie.
Au-delà de ces caractéristiques, Amadou Bâ est « zoon politcon » au sens aristotélicien du terme. C’est-à-dire que c’est un être profondément social, dont les qualités humaines sont reconnues de tous ceux qui l’ont approché, en premier, ses parents et sa famille élargie. Il ne rechigne jamais à être présent aux évènements heureux comme malheureux dans sa famille.
Pour toutes ces raisons, on voit donc ici que le Premier Ministre Amadou Bâ est bel et bien le candidat de la « Transformation Structurelle de l’Economie et de l’Industrialisation ».
La population sénégalaise fait face à des difficultés quotidiennes et cherche un candidat de l’unité nationale, capable d’apporter des solutions durables à leurs problèmes, comme il l’a laissé entendre lors d’un entretien « Quand on est chef du gouvernement, on est au service de l'État, de la République et des citoyens. Mon engagement et mon éthique personnelle, m'imposent de conduire fermement les affaires de l'État, jusqu'au dernier jour, avec loyauté, quel que soit le contexte politique ou l'actualité du moment ».
Le Sénégal a besoin d’un homme aux qualités d'humilité, d'écoute, pour diriger, pour rassembler. Alors, à la vue de ce qui précède, qui mieux qu’Amadou Bâ ?
Abdoulaye Thiam,
Président du Mouvement pour le Développement et le Progrès (MPD)