Tout a commencé, selon les explications de Moussa Oumar Guèye qui s'en est ouvert au journal Le Quotidien, quand à la fin de l'année 2012 son nom a été retenu sur la liste des hommes de médias sélectionnés pour suivre une formation de 9 mois au Cesti dans le cadre du fonds d'aide à la presse et que son employeur lui aurait refusé l'autorisation d'y participer.
Pour éviter le clash, il explique avoir déposé une demande d'affectation pour se rapprocher de la rédaction centrale à Dakar ou se déroule ladite formation. Mais là aussi Guèye soutient qu'un refus catégorique lui a été opposé. Il en a été de meme lorsque pour trouver une autre solution à même d'arranger les deux parties, le journaliste a introduit une demande afin de bénéficier de ses congés dont il n'avait jamais profité depuis 2006, année à laquelle il s'est officiellement engagé avec le groupe Sud Communication.
Pire ajoute-il, au moment du démarrage de la formation, le 3 décembre dernier, Oumar Diouf Fall, patron de Sud Fm, lui a signifié que sa participation à la session de formation était synonyme de licenciement pour lui. "Je suis victime d'une injustice alors que je n'ai commis aucune faute professionnelle ou administrative", a déclaré Moussa Oumar Guèye qui par ailleurs accusé son ex-employeur d'avoir demandé au Cesti de rayer son nom de la liste des bénéficiaires de la formation au moment même de la conciliation...
Pour éviter le clash, il explique avoir déposé une demande d'affectation pour se rapprocher de la rédaction centrale à Dakar ou se déroule ladite formation. Mais là aussi Guèye soutient qu'un refus catégorique lui a été opposé. Il en a été de meme lorsque pour trouver une autre solution à même d'arranger les deux parties, le journaliste a introduit une demande afin de bénéficier de ses congés dont il n'avait jamais profité depuis 2006, année à laquelle il s'est officiellement engagé avec le groupe Sud Communication.
Pire ajoute-il, au moment du démarrage de la formation, le 3 décembre dernier, Oumar Diouf Fall, patron de Sud Fm, lui a signifié que sa participation à la session de formation était synonyme de licenciement pour lui. "Je suis victime d'une injustice alors que je n'ai commis aucune faute professionnelle ou administrative", a déclaré Moussa Oumar Guèye qui par ailleurs accusé son ex-employeur d'avoir demandé au Cesti de rayer son nom de la liste des bénéficiaires de la formation au moment même de la conciliation...