Un jeune homme de 25 ans a été retrouvé pendu dans sa chambre, à Grand-Yoff, la semaine dernière. Son corps a été déposé à l’hôpital Idrissa Pouye, situé dans le même quartier. La victime se nomme Malick N. Il aurait laissé une lettre d’adieu dans laquelle il aurait déclaré : «J’en ai assez de la vie».
«Personne ne m’a fait de mal et je n’en veux à personne. Je pars sans regret», aurait-il ajouté, selon une source qui a confié dans "Les Échos", avoir parcouru la lettre, rapporte "Seneweb".
Le journal rapporte que Malick N. se serait donné la mort avec l’aide d’une potence qu’il aurait achetée il y a sept mois. Ses proches n’en reviennent pas. «Personne ne s’attendait à ce qu’il se suicide. Quand il a commandé la potence, l’on pensait que c’était pour accrocher sur le mur un téléviseur», souffle un membre de la famille du disparu.
Qu’est-ce qui aurait poussé le jeune homme à perdre espoir et à mettre fin à ses jours ? L’enquête ouverte par le commissariat de Grand-Yoff, le dira peut-être. Pour l’instant, les conjectures vont bon train au sujet de cette affaire. «Il égrenait beaucoup son chapelet ces derniers temps. On ne sait pas ce qui s’est passé, mais c’est un choc pour les jeunes qui le connaissent», confie un des parents de Malick N., repris par "Les Échos".
«Personne ne m’a fait de mal et je n’en veux à personne. Je pars sans regret», aurait-il ajouté, selon une source qui a confié dans "Les Échos", avoir parcouru la lettre, rapporte "Seneweb".
Le journal rapporte que Malick N. se serait donné la mort avec l’aide d’une potence qu’il aurait achetée il y a sept mois. Ses proches n’en reviennent pas. «Personne ne s’attendait à ce qu’il se suicide. Quand il a commandé la potence, l’on pensait que c’était pour accrocher sur le mur un téléviseur», souffle un membre de la famille du disparu.
Qu’est-ce qui aurait poussé le jeune homme à perdre espoir et à mettre fin à ses jours ? L’enquête ouverte par le commissariat de Grand-Yoff, le dira peut-être. Pour l’instant, les conjectures vont bon train au sujet de cette affaire. «Il égrenait beaucoup son chapelet ces derniers temps. On ne sait pas ce qui s’est passé, mais c’est un choc pour les jeunes qui le connaissent», confie un des parents de Malick N., repris par "Les Échos".