Confirmée dans son rôle incontournable de bureau relais d’un parti dont l’appel à la mobilisation n’a pas de frontières, l’antenne suisse de l’APR est devenue un bureau exécutif définitif, à l’issue d’une première assemblée générale suivie par de nombreux ressortissants sénégalais de Suisse. Avec son siège à Genève, ses objectifs seront de canaliser la ferveur des militants et sensibiliser l’ensemble de la communauté en Suisse.
En présence du Secrétaire National chargé de la diaspora et des cadres du parti, en présence d’une assemblée d’adhérents et de sympathisants venus de toute la Suisse, le rassembleur Moustapha Thiam a placé son discours d’accueil sous les signes du patriotisme, de l’engagement et de la détermination. Et du soutien sans faille à Monsieur Macky Sall, président du parti.
C’est un souffle chaleureux de ferveur patriotique qui a gagné les participants à l’Assemblée Générale de la section suisse du parti APR-YAAKAAR. «Nous ne sommes pas des Sénégalais entièrement à part, mais des Sénégalais à part entière» a relevé Moustapha Thiam, évoquant notamment le poids économique de la diaspora et ainsi, son influence sur le développement du pays. «Les contributions de la diaspora aux familles représentent 19% du PIB et 218% de l’aide publique au développement.» Des actions citoyennes au quotidien, puisque, selon un rapport de la BAD, «chacun d’entre nous envoie environ 65% de ses revenus.» Au prix de lourds sacrifices individuels, ces témoignages concrets d’une abnégation sans faille se font au service du mieux-vivre des familles et des proches. Ils démontrent aussi un attachement à la terre patrie.
Des efforts qui, selon Moustapha Thiam, obligent à ne plus déserter le champ politique et justifieraient une mobilisation accrue des membres de la diaspora suisse dans les prises de décision. «Si nous ne mobilisons pas, la nature ayant horreur du vide, d’autres le feront à notre place, ils prendront les décisions.» Et d’exhorter la 15ème région du Sénégal au devoir de s’impliquer dans la réalisation d’un Sénégal émergeant, tout en usant de son droit à être entendue.
En invitant les Sénégalais de Suisse à rejoindre les rangs de sa formation «pour bénéficier d’un espace d’échange et de concertation en vue d’un programme de développement durable», Moustapha Thiam a rappelé les valeurs essentielles prônées par son Président, Macky Sall: «Le parti APR–YAAKAAR est le seul à proposer une démarche pertinente. A vouloir faire de la politique autrement, basée essentiellement sur le respect des institutions, le rétablissement des normes républicaines et sur un socle de valeurs hélas en voie de disparition.»
Il a rappelé aussi qu’en sa qualité de Premier Ministre en exercice, le Président Macky Sall a su élaborer la politique générale du gouvernement. Il est à ce titre aux premières loges des attentes populaires: «Le peuple ne veut plus d’un programme pensé par des technocrates assis dans des salons climatisés, coupés des réalités criardes» a-t-il affirmé, soulignant l’engagement sur le terrain de son mentor et son credo pour une politique réellement participative: «Notre Président est allé à la rencontre des Sénégalais, il a sillonné le pays jusqu’aux populations les plus reculées. Il les a écoutées, a identifié leurs besoins et a tracé avec elles les esquisses de solutions». L’espoir d’une politique participative, à portée d’élections.
En présence du Secrétaire National chargé de la diaspora et des cadres du parti, en présence d’une assemblée d’adhérents et de sympathisants venus de toute la Suisse, le rassembleur Moustapha Thiam a placé son discours d’accueil sous les signes du patriotisme, de l’engagement et de la détermination. Et du soutien sans faille à Monsieur Macky Sall, président du parti.
C’est un souffle chaleureux de ferveur patriotique qui a gagné les participants à l’Assemblée Générale de la section suisse du parti APR-YAAKAAR. «Nous ne sommes pas des Sénégalais entièrement à part, mais des Sénégalais à part entière» a relevé Moustapha Thiam, évoquant notamment le poids économique de la diaspora et ainsi, son influence sur le développement du pays. «Les contributions de la diaspora aux familles représentent 19% du PIB et 218% de l’aide publique au développement.» Des actions citoyennes au quotidien, puisque, selon un rapport de la BAD, «chacun d’entre nous envoie environ 65% de ses revenus.» Au prix de lourds sacrifices individuels, ces témoignages concrets d’une abnégation sans faille se font au service du mieux-vivre des familles et des proches. Ils démontrent aussi un attachement à la terre patrie.
Des efforts qui, selon Moustapha Thiam, obligent à ne plus déserter le champ politique et justifieraient une mobilisation accrue des membres de la diaspora suisse dans les prises de décision. «Si nous ne mobilisons pas, la nature ayant horreur du vide, d’autres le feront à notre place, ils prendront les décisions.» Et d’exhorter la 15ème région du Sénégal au devoir de s’impliquer dans la réalisation d’un Sénégal émergeant, tout en usant de son droit à être entendue.
En invitant les Sénégalais de Suisse à rejoindre les rangs de sa formation «pour bénéficier d’un espace d’échange et de concertation en vue d’un programme de développement durable», Moustapha Thiam a rappelé les valeurs essentielles prônées par son Président, Macky Sall: «Le parti APR–YAAKAAR est le seul à proposer une démarche pertinente. A vouloir faire de la politique autrement, basée essentiellement sur le respect des institutions, le rétablissement des normes républicaines et sur un socle de valeurs hélas en voie de disparition.»
Il a rappelé aussi qu’en sa qualité de Premier Ministre en exercice, le Président Macky Sall a su élaborer la politique générale du gouvernement. Il est à ce titre aux premières loges des attentes populaires: «Le peuple ne veut plus d’un programme pensé par des technocrates assis dans des salons climatisés, coupés des réalités criardes» a-t-il affirmé, soulignant l’engagement sur le terrain de son mentor et son credo pour une politique réellement participative: «Notre Président est allé à la rencontre des Sénégalais, il a sillonné le pays jusqu’aux populations les plus reculées. Il les a écoutées, a identifié leurs besoins et a tracé avec elles les esquisses de solutions». L’espoir d’une politique participative, à portée d’élections.