Les députés du PDS informent que le communiqué du porte-parole du Département d’Etat américain, repose sur plusieurs erreurs. Suivant la Constitution de la République du Sénégal, toutes les lois sont votées par l’Assemblée nationale, souveraine, en sa qualité de dépositaire de la souveraineté nationale.
La souveraineté nationale, selon la Constitution (article 3), appartient au peuple sénégalais, qui l’exerce par la voix de ses représentants. Par ailleurs, le communiqué du porte-parole du Département d’Etat américain, déforme la réalité des faits, au sujet de l’intervention de la gendarmerie nationale, qui a fait sortir certains députés, lors du vote de la loi.
En effet, les chaînes de télévision ont retransmis, en direct, l’attitude de quelques députés opposés à la proposition de loi, qui ont tenté de bloquer la procédure de vote, par une opposition physique, en montant sur le perchoir de l’Assemblée.
L’article 53 du règlement intérieur de l’Assemblée nationale, autorise le président de cette institution à recourir à la force publique, pour mettre fin à tout dysfonctionnement et permettre la poursuite des travaux.
La loi constitutionnelle qui reporte l’élection présidentielle, ne souffre d’aucune illégalité. Elle est parfaitement légitime, contrairement à ce que prétend la déclaration du porte-parole du Département d’Etat américain, qui, sans doute, au moment de la rédaction et de la publication de son communiqué, ne disposait pas de toutes les informations.
La souveraineté nationale, selon la Constitution (article 3), appartient au peuple sénégalais, qui l’exerce par la voix de ses représentants. Par ailleurs, le communiqué du porte-parole du Département d’Etat américain, déforme la réalité des faits, au sujet de l’intervention de la gendarmerie nationale, qui a fait sortir certains députés, lors du vote de la loi.
En effet, les chaînes de télévision ont retransmis, en direct, l’attitude de quelques députés opposés à la proposition de loi, qui ont tenté de bloquer la procédure de vote, par une opposition physique, en montant sur le perchoir de l’Assemblée.
L’article 53 du règlement intérieur de l’Assemblée nationale, autorise le président de cette institution à recourir à la force publique, pour mettre fin à tout dysfonctionnement et permettre la poursuite des travaux.
La loi constitutionnelle qui reporte l’élection présidentielle, ne souffre d’aucune illégalité. Elle est parfaitement légitime, contrairement à ce que prétend la déclaration du porte-parole du Département d’Etat américain, qui, sans doute, au moment de la rédaction et de la publication de son communiqué, ne disposait pas de toutes les informations.