L’homme fort de Damas ne semble éprouver ni regret, ni remord. Il reste inflexible et déterminé face aux caméras de la chaine Addounia. Il résume d’ailleurs la situation en une phrase : « Nous progressons, sur le terrain, les choses s’améliorent, mais nous n’avons pas encore gagné ».
La chaine de télévison acquise à sa cause, qui a réalisé cet entretien, a choisi de diffuser des extraits bien précis.
On voit Bachar el-Assad se vanter du soutien d'une partie de la population pour venir à bout de la rébellion formée de civils ayant pris les armes et de déserteurs.
À ce sujet d’ailleurs, le président syrien affiche sa satisfaction par rapport aux défections intervenues ces dernières semaines. Pour lui, les responsables qui ont fui sont « dénués de patriotisme ». Ils ont d’ailleurs « bien fait de partir, la Syrie est à présent nettoyée ».
Alors que le pays est ravagé par les violences qui ont fait des dizaines de milliers de morts, et poussé à la fuite dix fois plus de personne, Bachar el-Assad compte bien continuer son massacre à huis clos. Il trouve « irréaliste » l’idée des Occidentaux et de la Turquie de mettre en place une zone tampon pour accueillir les réfugiés.
Source:Rfi
La chaine de télévison acquise à sa cause, qui a réalisé cet entretien, a choisi de diffuser des extraits bien précis.
On voit Bachar el-Assad se vanter du soutien d'une partie de la population pour venir à bout de la rébellion formée de civils ayant pris les armes et de déserteurs.
À ce sujet d’ailleurs, le président syrien affiche sa satisfaction par rapport aux défections intervenues ces dernières semaines. Pour lui, les responsables qui ont fui sont « dénués de patriotisme ». Ils ont d’ailleurs « bien fait de partir, la Syrie est à présent nettoyée ».
Alors que le pays est ravagé par les violences qui ont fait des dizaines de milliers de morts, et poussé à la fuite dix fois plus de personne, Bachar el-Assad compte bien continuer son massacre à huis clos. Il trouve « irréaliste » l’idée des Occidentaux et de la Turquie de mettre en place une zone tampon pour accueillir les réfugiés.
Source:Rfi
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