« Je ne peux vouloir davantage la paix que les protagonistes et que la communauté internationale ». Kofi Annan explique en ces termes sa démission du poste de médiateur. Au cour d'une conférence de presse tenue à Genève, il a regretté la manque de soutien de la part d'une communauté internationale profondément divisée qui, dit-il, ne lui a pas apporté l’appui attendu et que justifiait la situation.
La militarisation croissante du conflit et les divisions profondes constatées au Conseil de sécurité ont eu raison de sa détermination à ouvrir le chemin de la transition et de la paix.
C’est un homme visiblement affecté par son échec - son plan de règlement n’a jamais connu le début d’une mise en œuvre - qui se retire. Il dénonce, en particulier, l’absence de toute volonté du gouvernement syrien, mais aussi de l’opposition, à engager un processus de règlement politique.
« Tôt ou tard Bachar el-Assad devra partir dans le cadre d’une transition », a-t-il affirmé en excluant toute option militaire extérieure.
Source:Rfi
La militarisation croissante du conflit et les divisions profondes constatées au Conseil de sécurité ont eu raison de sa détermination à ouvrir le chemin de la transition et de la paix.
C’est un homme visiblement affecté par son échec - son plan de règlement n’a jamais connu le début d’une mise en œuvre - qui se retire. Il dénonce, en particulier, l’absence de toute volonté du gouvernement syrien, mais aussi de l’opposition, à engager un processus de règlement politique.
« Tôt ou tard Bachar el-Assad devra partir dans le cadre d’une transition », a-t-il affirmé en excluant toute option militaire extérieure.
Source:Rfi