« J'ai eu des discussions franches et constructives », ce sont les mots de Kofi Annan à la sortie de son entretien, ce lundi matin, avec le président Bachar el-Assad. Même écho du côté des autorités syriennes.
Kofi Annan et le président syrien se seraient mis d'accord sur une approche pour mettre fin aux violences, une approche que Kofi Annan veut « partager avec l'opposition armée », a-t-il dit lors d'une conférence de presse éclair dans le hall d'un hôtel de Damas. Mais il y a peu de chances que l'opposition accepte quoi que ce soit venant de Bachar el-Assad dont elle exige le départ préalablement à toute discussion.
Kofi Annan a affirmé, que « le président Assad l'avait à nouveau assuré de son engagement avec le plan en six points qui, bien sûr, doit être mis en œuvre d'une meilleure façon que ce qui a été fait jusqu'à présent ».
Kofi Annan qui a récemment reconnu l'échec de sa mission, quitte la Syrie - pour se rendre à Téhéran selon les médias iraniens - mais laisse une équipe chargée de poursuivre ce dialogue avec l'opposition armée. La mission de l'émissaire devrait s'achever le 20 juillet. Les 300 observateurs qui sont cantonnés depuis mi-mai dans leurs bases en raison des risques pour leur sécurité ne devraient pas rester dans le pays. Le Conseil de sécurité de l'ONU doit en décider dans les prochains jours. Il semblerait que seul un bureau de liaison de cette mission sera maintenu à Damas.
Kofi Annan et le président syrien se seraient mis d'accord sur une approche pour mettre fin aux violences, une approche que Kofi Annan veut « partager avec l'opposition armée », a-t-il dit lors d'une conférence de presse éclair dans le hall d'un hôtel de Damas. Mais il y a peu de chances que l'opposition accepte quoi que ce soit venant de Bachar el-Assad dont elle exige le départ préalablement à toute discussion.
Kofi Annan a affirmé, que « le président Assad l'avait à nouveau assuré de son engagement avec le plan en six points qui, bien sûr, doit être mis en œuvre d'une meilleure façon que ce qui a été fait jusqu'à présent ».
Kofi Annan qui a récemment reconnu l'échec de sa mission, quitte la Syrie - pour se rendre à Téhéran selon les médias iraniens - mais laisse une équipe chargée de poursuivre ce dialogue avec l'opposition armée. La mission de l'émissaire devrait s'achever le 20 juillet. Les 300 observateurs qui sont cantonnés depuis mi-mai dans leurs bases en raison des risques pour leur sécurité ne devraient pas rester dans le pays. Le Conseil de sécurité de l'ONU doit en décider dans les prochains jours. Il semblerait que seul un bureau de liaison de cette mission sera maintenu à Damas.