La scène serait-elle en train de se vider autour de Bachar el-Assad ? Non, à en croire la télévision d’Etat syrienne, qui annonce le Premier ministre comme étant démis de ses fonctions.
Une information démentie par Riad Hijab lui-même qui dit avoir rejoint l’opposition. A Londres, le président de l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), Rami Abdulrahman soutient cette version. Pour lui, c’est un nouveau coup dur pour le régime de Damas. Après la mort de quatre des principaux ministres syriens dans des attentats il y a trois semaines, voilà que ceux qui restent font défection.
Il faut dire que la Toile s’affole autour de cette information. On parle de trois autres ministres et trois hauts gradés qui auraient eux aussi laissé tomber le régime. Mais il faut rester très prudent. Pour l’instant, il n’y a aucun moyen de vérifier ces informations dont certaines affirment que le Premier ministre Riad Hijab n’aurait finalement pas réussi à fuir avec sa famille en Jordanie, mais aurait, au contraire, été arrêté avant d’atteindre la frontière.
Pour Damas, il n’y a même pas de quoi spéculer autour de cette affaire. Toutefois le régime n’avance aucune raison à ce limogeage. La question désormais est la suivante : ces défections vont-elles, si elles ont bien eu lieu, fragiliser le régime ?
Source:RFI
Une information démentie par Riad Hijab lui-même qui dit avoir rejoint l’opposition. A Londres, le président de l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), Rami Abdulrahman soutient cette version. Pour lui, c’est un nouveau coup dur pour le régime de Damas. Après la mort de quatre des principaux ministres syriens dans des attentats il y a trois semaines, voilà que ceux qui restent font défection.
Il faut dire que la Toile s’affole autour de cette information. On parle de trois autres ministres et trois hauts gradés qui auraient eux aussi laissé tomber le régime. Mais il faut rester très prudent. Pour l’instant, il n’y a aucun moyen de vérifier ces informations dont certaines affirment que le Premier ministre Riad Hijab n’aurait finalement pas réussi à fuir avec sa famille en Jordanie, mais aurait, au contraire, été arrêté avant d’atteindre la frontière.
Pour Damas, il n’y a même pas de quoi spéculer autour de cette affaire. Toutefois le régime n’avance aucune raison à ce limogeage. La question désormais est la suivante : ces défections vont-elles, si elles ont bien eu lieu, fragiliser le régime ?
Source:RFI