Le Collectif national des associations de retraités et de personnes âgées (Cnart/Pa) ne décolère pas contre l’Etat qui tarde à réformer le système de retraite, notamment l’Institution de prévoyance sociale (Ipres) et le Fonds national de retraite (Fnr). Il s’offusque contre la misère des travailleurs malmenés, bâillonnés et enfermés dans une paupérisation, constituant une menace rampante sur la stabilité des ménages et l’avenir des jeunes. Le tout, constate-t-il, dans un contexte de climat social, marqué par des tensions, des malentendus et des invectives sous l’œil observateur des populations.
D’après la source, le secrétariat exécutif dudit collectif constate qu’au sortir de la conférence sociale sur la retraite, les personnes âgées sont restées sur leur faim face au silence pesant et, au mystère qui entourent les promesses, les engagements et les déclarations sans effet positif.
Selon cette organisation faitière, pour la pérennisation, la sécurisation et la fiabilité des systèmes de retraite, l’Institution de prévoyance sociale (Ipres) et le Fonds national de retraite (Fnr), ont le devoir d’entrer dans le cycle de la modernisation. Notamment, par des reformes allant de la refonte des vieux textes, l’inclusion des pensionnés dans le dispositif en leur qualité de participants.
Cependant, pour réussir ce pari, le collectif estime qu’il est impératif de déclencher un audit croisé et contradictoire de l’Institution de prévoyance sociale. Pis, le collectif exige de l’Etat de mettre cette institution sous délégation spéciale avant d’entamer tout projet d’unification des caisses. Cela, lit-on, dans l’optique d’éviter surtout le camouflage des scandales multiples au sein des institutions sociales.
Le secrétariat exécutif fustige le comportement indigne des « larbins » qui piétinent l’intérêt général, déshabillent les belles constructions d’unification des OPA et butinent partout, tels des invalides sociaux, assis sur la dernière ligne de leur vie.
Et, le collectif regrette le fait que le Fonds national de retraite attend toujours la clé de répartition pour faire bénéficier à ses retraités les 10%, servis quatre fois, à l’Ipres en raison de la vie chère et pour une justice sociale équilibrée. Le collectif demande à l’Etat de mettre fin à ce qu’il considère comme un massacre des vieux.
Analysant la situation sociale nationale, à la lumière de plusieurs évènements douloureux, inacceptables et préoccupants, le secrétariat exécutif condamne vigoureusement les crimes récurrents, crapuleux et abominables, jamais connus dans le pays.
Par ailleurs, le collectif demande à l’Etat d’accorder plus d’attention aux petites et moyennes entreprises, menacées de fermeture sous la pression des systèmes bancaires. Et, lance un appel aux acteurs sociaux, tout en les invitant à une introspection en dehors de toutes les considérations pour vaincre le démon qui sommeille en nous.
La cohésion sociale qui n’a pas de prix, insiste-t-il, devrait être le poumon de la marche du pays vers la paix, la sécurité et le bien-être des populations.
O WADE Leral
D’après la source, le secrétariat exécutif dudit collectif constate qu’au sortir de la conférence sociale sur la retraite, les personnes âgées sont restées sur leur faim face au silence pesant et, au mystère qui entourent les promesses, les engagements et les déclarations sans effet positif.
Selon cette organisation faitière, pour la pérennisation, la sécurisation et la fiabilité des systèmes de retraite, l’Institution de prévoyance sociale (Ipres) et le Fonds national de retraite (Fnr), ont le devoir d’entrer dans le cycle de la modernisation. Notamment, par des reformes allant de la refonte des vieux textes, l’inclusion des pensionnés dans le dispositif en leur qualité de participants.
Cependant, pour réussir ce pari, le collectif estime qu’il est impératif de déclencher un audit croisé et contradictoire de l’Institution de prévoyance sociale. Pis, le collectif exige de l’Etat de mettre cette institution sous délégation spéciale avant d’entamer tout projet d’unification des caisses. Cela, lit-on, dans l’optique d’éviter surtout le camouflage des scandales multiples au sein des institutions sociales.
Le secrétariat exécutif fustige le comportement indigne des « larbins » qui piétinent l’intérêt général, déshabillent les belles constructions d’unification des OPA et butinent partout, tels des invalides sociaux, assis sur la dernière ligne de leur vie.
Et, le collectif regrette le fait que le Fonds national de retraite attend toujours la clé de répartition pour faire bénéficier à ses retraités les 10%, servis quatre fois, à l’Ipres en raison de la vie chère et pour une justice sociale équilibrée. Le collectif demande à l’Etat de mettre fin à ce qu’il considère comme un massacre des vieux.
Analysant la situation sociale nationale, à la lumière de plusieurs évènements douloureux, inacceptables et préoccupants, le secrétariat exécutif condamne vigoureusement les crimes récurrents, crapuleux et abominables, jamais connus dans le pays.
Par ailleurs, le collectif demande à l’Etat d’accorder plus d’attention aux petites et moyennes entreprises, menacées de fermeture sous la pression des systèmes bancaires. Et, lance un appel aux acteurs sociaux, tout en les invitant à une introspection en dehors de toutes les considérations pour vaincre le démon qui sommeille en nous.
La cohésion sociale qui n’a pas de prix, insiste-t-il, devrait être le poumon de la marche du pays vers la paix, la sécurité et le bien-être des populations.
O WADE Leral