Les lois sur la parité et l’orientation sociale, pour généreuses qu’elles soient, sont perçues par l’Alliance Jëf-Jël comme un moyen « de flouer les Sénégalais et les amener à oublier les malversations qui nous maintiennent dans une frustration permanente, la misère et l’impunité », lit-on dans un communiqué dont copie nous est parvenue.
Dans la même veine, le Jëf-Jël considère Wade comme un président hors-jeu. Car il « a fortement terni l’image du Sénégal ». Par conséquent, « il ne mérite aucun égard, parce qu’ayant montré son incapacité et son indignité à diriger le peuple dont il est redevable », estiment les camarades de Talla Sylla.
Mais ce qui fait sortir le plus l’Alliance Jëf-Jël de ses gonds, c’est « l’attitude hystérique » de Wade, à chaque fois qu’on évoque les notions de bonne gouvernance démocratique. Ainsi, Talla Sylla et ses camarades croient savoir que le régime libéral veut transformer le Sénégal en ‘’Ndoumbélane’’, jungle de fauves où les valeurs sont en berne et le ridicule ne tue point ».
Le Jëf-Jël s’émeut aussi de la « diplomatie de rue » érigée en règle par les autorités.
S’agissant du vote de la loi des finances rectificative, les camarades de Talla Sylla le considèrent comme un prétexte pour « doter les stations politiques, notamment le cabinet présidentiel, d’un butin destiné à un dessein qui n’augure rien de bon pour la République, pour la démocratie et pour les citoyens ».
Papa KEITA
Dans la même veine, le Jëf-Jël considère Wade comme un président hors-jeu. Car il « a fortement terni l’image du Sénégal ». Par conséquent, « il ne mérite aucun égard, parce qu’ayant montré son incapacité et son indignité à diriger le peuple dont il est redevable », estiment les camarades de Talla Sylla.
Mais ce qui fait sortir le plus l’Alliance Jëf-Jël de ses gonds, c’est « l’attitude hystérique » de Wade, à chaque fois qu’on évoque les notions de bonne gouvernance démocratique. Ainsi, Talla Sylla et ses camarades croient savoir que le régime libéral veut transformer le Sénégal en ‘’Ndoumbélane’’, jungle de fauves où les valeurs sont en berne et le ridicule ne tue point ».
Le Jëf-Jël s’émeut aussi de la « diplomatie de rue » érigée en règle par les autorités.
S’agissant du vote de la loi des finances rectificative, les camarades de Talla Sylla le considèrent comme un prétexte pour « doter les stations politiques, notamment le cabinet présidentiel, d’un butin destiné à un dessein qui n’augure rien de bon pour la République, pour la démocratie et pour les citoyens ».
Papa KEITA