C’est suite à une saisine de l’Inspection Départementale de l’Education adressée au Procureur de la République que l’affaire a éclaté. Il s’agit d’un cas de viol dont la victime est une institutrice nommée Sira B Sow, en poste à Saré Sidy. Aussitôt diligentée, la gendarmerie a ouvert une enquête et découvert, au cours de ses investigations, des éléments de preuve sur l’accusé. Et à travers le témoignage d’un instituteur du nom de Wagué, collègue de la dame, les pandores ont pu conclure à un harcèlement sexuel qui a conduit le directeur Souleymane Diallo, à franchir le rubicon.
Ainsi lundi dernier, attiré depuis quelques temps attiré par le charme et la beauté d’ange de l’institutrice, Souleymane trouve la ravissante Sira B Sow, âgée de 27 ans, en train de préparer ses fiches pour le lendemain. Il lui propose une entrevue galante que l’institutrice décline tout en continuant à travailler. Ne pouvant plus alors maîtriser ses pulsions, le directeur d’école ne s embarrassera plus de scrupules et sautera sur la fille, persuadé qu’il n’y avait personne pour les entendre. Usant de sa force herculéenne, il la ligota et la musela, avant de la jeter sur le lit. Il la menace de la tuer si jamais elle s’avise à crier. Sira connait la plus grande peur de sa vie, mais que peut elle faire face à ce monstre ? Souleymane lui ordonne d’enlever ses habits si elle ne voulait pas mourir. Tétanisée par la peur, Sira se laisse faire. Après avoir promené sa main sur la poitrine dénudée de l’enseignante, Souleymane Diallo baisse son pantalon et la viole avec un préservatif. Après son acte ignoble, il se relève, enfile ses habits et sort doucement de la chambre et laisse sur place sa « proie » se tordre de vives douleurs. Comme toute chose a une fin, le pot aux roses finit par être découvert. Selon la version de Sira B Sow, elle a été victime de séries d’harcèlement sexuels de la part de son directeur, mais cette fois l’enseignant est allé jusqu’à l’obliger à entretenir des rapports sexuels avec lui. Interrogé, le mis en cause reconnaît avoir entretenu des rapports sexuels avec la dame, mais avec son consentement. « Faux », rétorquera la victime, en informant que son directeur d’établissement a toujours cherché à coucher avec elle, allant même jusqu’à lui proposer le mariage, mais elle n’avait jamais voulu.
Au terme de l’enquête, la victime renonce à sa plainte pour ne pas ternir son image, mais aussi en face de fortes pressions venues de l’extérieur. Au terme de sa durée légale de garde-à-vue, Souleymane Diallo a été déféré au parquet puis placé sous mandat de dépôt à la citadelle du silence. A-t-il eu une affection particulière pour les maisons d’arrêt ? En tout cas, c’est la deuxième fois qu’il est mis aux arrêts pour les mêmes faits. La première remonte à 2008 quand il avait tenté de satisfaire sa libido sur une stagiaire de l’Ecole de Formation des Instituteurs. Il avait été condamné à deux ans de prison ferme par le tribunal correctionnel de Tambacounda. Il avait interjeté appel au niveau de la cour d’appel de Kaolack avant de bénéficier d’une liberté provisoire. Mais cette fois, les carottes semblent cuites pour l’enseignant violeur.
Samedi 30 Janvier 2010
RIMKA AKM
Source :
http://www.rewmi.com
Ainsi lundi dernier, attiré depuis quelques temps attiré par le charme et la beauté d’ange de l’institutrice, Souleymane trouve la ravissante Sira B Sow, âgée de 27 ans, en train de préparer ses fiches pour le lendemain. Il lui propose une entrevue galante que l’institutrice décline tout en continuant à travailler. Ne pouvant plus alors maîtriser ses pulsions, le directeur d’école ne s embarrassera plus de scrupules et sautera sur la fille, persuadé qu’il n’y avait personne pour les entendre. Usant de sa force herculéenne, il la ligota et la musela, avant de la jeter sur le lit. Il la menace de la tuer si jamais elle s’avise à crier. Sira connait la plus grande peur de sa vie, mais que peut elle faire face à ce monstre ? Souleymane lui ordonne d’enlever ses habits si elle ne voulait pas mourir. Tétanisée par la peur, Sira se laisse faire. Après avoir promené sa main sur la poitrine dénudée de l’enseignante, Souleymane Diallo baisse son pantalon et la viole avec un préservatif. Après son acte ignoble, il se relève, enfile ses habits et sort doucement de la chambre et laisse sur place sa « proie » se tordre de vives douleurs. Comme toute chose a une fin, le pot aux roses finit par être découvert. Selon la version de Sira B Sow, elle a été victime de séries d’harcèlement sexuels de la part de son directeur, mais cette fois l’enseignant est allé jusqu’à l’obliger à entretenir des rapports sexuels avec lui. Interrogé, le mis en cause reconnaît avoir entretenu des rapports sexuels avec la dame, mais avec son consentement. « Faux », rétorquera la victime, en informant que son directeur d’établissement a toujours cherché à coucher avec elle, allant même jusqu’à lui proposer le mariage, mais elle n’avait jamais voulu.
Au terme de l’enquête, la victime renonce à sa plainte pour ne pas ternir son image, mais aussi en face de fortes pressions venues de l’extérieur. Au terme de sa durée légale de garde-à-vue, Souleymane Diallo a été déféré au parquet puis placé sous mandat de dépôt à la citadelle du silence. A-t-il eu une affection particulière pour les maisons d’arrêt ? En tout cas, c’est la deuxième fois qu’il est mis aux arrêts pour les mêmes faits. La première remonte à 2008 quand il avait tenté de satisfaire sa libido sur une stagiaire de l’Ecole de Formation des Instituteurs. Il avait été condamné à deux ans de prison ferme par le tribunal correctionnel de Tambacounda. Il avait interjeté appel au niveau de la cour d’appel de Kaolack avant de bénéficier d’une liberté provisoire. Mais cette fois, les carottes semblent cuites pour l’enseignant violeur.
Samedi 30 Janvier 2010
RIMKA AKM
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