Unissez-vous, tenez des meetings ensemble afin que vous gagniez la mairie au soir du 22 mars et je vous soutiendrai de manière considerable”, a declaré le secrétaire général national du parti démocratique sénégalais devant la gouvernance de Kédougou.
Dès son arrivée à l’aérodrome de ladite ville, la délégation n’a pas perdu de temps et s’est dirigée rapidement vers le centre ville qui abrite le temple de l’exécutif de la région où il devait recevoir les couches qui représentaient toute la cité.
D’abord les politiques, ensuite les chefs religieux et coutumiers et enfin les femmes, les opérateurs économiques et les journalists. Mais à part les premiers cités aucun de ces groupes n’a rencontré le chef de l’Etat.
“Vos querelles internes ne profitent à ni l’un ni l’autre. Celui-ci était mon ministre et celui-là fait partie des jeunes les plus dynamiques du parti”, indique-t-il, en faisant allusion respectivement à Mamadou Makalou et Moustapha Guirassy. Et d’ajouter devant une foule déchaînée : « si je vous dis que je vais vous aider pour qu’il y ait un bon assainissement, une construction de nouvelles infrastructures afin Kédougou rayonne comme les autres régions et soyez surs que ce n’est pas des paroles de campagne ».
Une foule qui se divise en triade. Une première partie constituée de militants libéraux convaincus, une seconde où l’on trouve un bande de curieux et une dernière qui avait porté des brassards rouges uniquement pour montrer leur mécontentement.
Contraints de faire semblant d’être réconciliés les deux hommes se sont serrés la main devant le chef de l’Etat qui a apprécié le geste. Moustapha Guirassy bien qu’étant plus jeune de plus d’une décennie a été le premier à tendre la main à son farouche adversaire qu’est Mamadou Makalou. Reste maintenant à savoir si cette guerre intra-libérale s’est arêtee là.
« La place des étudiants ce n’est pas la prison mais à l’université »
Revenant sur le pourquoi de l’Etat de grâce qu’il accordé aux 19 jeunes qui étaient détenus depuis trois à la maison d’arrêt et de correction de Tambacounda, Me Abdoulaye, a blanchi les étudiants dans l’unique but de faire triompher la coalition Sopi 2009 à Kédougou au soir du 22 mars. Mais ça ne sera pas une chose aisée. « Les étudiants m’ont écrit deux lettres en me disant que ce qui est arrivé le 23 décembre dernier, ils ne voulaient pas que cela se passe ainsi », indiquait le secrétaire général national du Pds.
Et d’ajouter « les jeunes ont été infiltrés par des saboteurs professionnels qui ont saccagé et incendié la préfecture et les autres édifices publics ». Selon le président de la République, “la place d’un étudiant est à l’université et non à la prison et celle du jeune tout court se trouve dans les chantiers”.
C’est la raison qui l’a poussé à libérer ces jeunes qui ont l’obligation de servir ce pays un jour mais le grand perdant reste et demeure Sina Sidibé qu’on n’a même pas rendu hommage. D’ailleurs, le Chef de l’Etat n’a même pas prononcé son nom.
Ce que les détenus eux ont très tôt compris quand ils ont foulé la terre des hommes aux environs de 14 heures. Au moment où les étudiants qui supportent et utilisent sans gène leur association le Pds voulaient conduire les 19 détenus chez Guirassy, les militants de Benno Siggil Sénégal se sont opposés farouchement en voulant casser le bus et lyncher le chauffeur.
Les détenus ne voulant pas être manipulés comme des marionnettes se sont rendus directement chez la famille Sidibé pour saluer la maman de Sina Sidibé.
Le chef de l’état a aussi profité de sa visite pour promettre aux habitants de Kédougou la construction d’un collège des mines, celle d’une grande école minière comme en France mais avant il va commencer par la préfecture.
source sud quotidien
Dès son arrivée à l’aérodrome de ladite ville, la délégation n’a pas perdu de temps et s’est dirigée rapidement vers le centre ville qui abrite le temple de l’exécutif de la région où il devait recevoir les couches qui représentaient toute la cité.
D’abord les politiques, ensuite les chefs religieux et coutumiers et enfin les femmes, les opérateurs économiques et les journalists. Mais à part les premiers cités aucun de ces groupes n’a rencontré le chef de l’Etat.
“Vos querelles internes ne profitent à ni l’un ni l’autre. Celui-ci était mon ministre et celui-là fait partie des jeunes les plus dynamiques du parti”, indique-t-il, en faisant allusion respectivement à Mamadou Makalou et Moustapha Guirassy. Et d’ajouter devant une foule déchaînée : « si je vous dis que je vais vous aider pour qu’il y ait un bon assainissement, une construction de nouvelles infrastructures afin Kédougou rayonne comme les autres régions et soyez surs que ce n’est pas des paroles de campagne ».
Une foule qui se divise en triade. Une première partie constituée de militants libéraux convaincus, une seconde où l’on trouve un bande de curieux et une dernière qui avait porté des brassards rouges uniquement pour montrer leur mécontentement.
Contraints de faire semblant d’être réconciliés les deux hommes se sont serrés la main devant le chef de l’Etat qui a apprécié le geste. Moustapha Guirassy bien qu’étant plus jeune de plus d’une décennie a été le premier à tendre la main à son farouche adversaire qu’est Mamadou Makalou. Reste maintenant à savoir si cette guerre intra-libérale s’est arêtee là.
« La place des étudiants ce n’est pas la prison mais à l’université »
Revenant sur le pourquoi de l’Etat de grâce qu’il accordé aux 19 jeunes qui étaient détenus depuis trois à la maison d’arrêt et de correction de Tambacounda, Me Abdoulaye, a blanchi les étudiants dans l’unique but de faire triompher la coalition Sopi 2009 à Kédougou au soir du 22 mars. Mais ça ne sera pas une chose aisée. « Les étudiants m’ont écrit deux lettres en me disant que ce qui est arrivé le 23 décembre dernier, ils ne voulaient pas que cela se passe ainsi », indiquait le secrétaire général national du Pds.
Et d’ajouter « les jeunes ont été infiltrés par des saboteurs professionnels qui ont saccagé et incendié la préfecture et les autres édifices publics ». Selon le président de la République, “la place d’un étudiant est à l’université et non à la prison et celle du jeune tout court se trouve dans les chantiers”.
C’est la raison qui l’a poussé à libérer ces jeunes qui ont l’obligation de servir ce pays un jour mais le grand perdant reste et demeure Sina Sidibé qu’on n’a même pas rendu hommage. D’ailleurs, le Chef de l’Etat n’a même pas prononcé son nom.
Ce que les détenus eux ont très tôt compris quand ils ont foulé la terre des hommes aux environs de 14 heures. Au moment où les étudiants qui supportent et utilisent sans gène leur association le Pds voulaient conduire les 19 détenus chez Guirassy, les militants de Benno Siggil Sénégal se sont opposés farouchement en voulant casser le bus et lyncher le chauffeur.
Les détenus ne voulant pas être manipulés comme des marionnettes se sont rendus directement chez la famille Sidibé pour saluer la maman de Sina Sidibé.
Le chef de l’état a aussi profité de sa visite pour promettre aux habitants de Kédougou la construction d’un collège des mines, celle d’une grande école minière comme en France mais avant il va commencer par la préfecture.
source sud quotidien