‘’Tous les acteurs de la filière, les transporteurs, les collectivités locales et la presse seront associés au processus en amont comme en aval afin d’assurer l’approvisionnement correct du marché et la fluidité des échanges’’, a dit le ministre lors du point de presse tenue mardi à Dakar, dans le cadre des préparatifs de la Tabaski prévue en début novembre.
Il s’agit de la mise en place d’un plan de communication axé sur la concertation régulière avec les professionnels de l’élevage et de la diffusion d’informations sous forme de spots radio et télés, de reportages et d’émissions à travers les médias, a expliqué Oumou Khairy Guèye Seck.
Des affiches et des banderoles seront également conçues et diffusées, de même qu’un bulletin ‘’Info Tabaski’’. Un journal interactif de la Tabaski sera aussi diffusée à la télévision nationale 10 jours avant la fête pour ‘’informer sur l’approvisionnement journalier en moutons et répondre aux questions des populations’’.
Après la tenue, la semaine dernière, d’un conseil interministériel sur ces préparatifs, le ministre de l’Elevage a cru bon d’échanger avec la presse ‘’en détail sur des dispositions prises par le gouvernement’’.
Parmi ces mesures, elle a noté l’exonération des droits et taxes sur les petits ruminants ainsi que l’assouplissement des conditions de transports et d’acheminement des moutons.
Il y a aussi la mise en place du ‘’crédit Tabaski’’ avec déjà 366 millions de francs décaissés par les institutions financières engagées dans ce processus, selon le ministre de l’Elevage. Une enveloppe de 600 millions de francs est en cours de décaissement pour les opérateurs désireux de s’engager dans le circuit d’approvisionnement.
Pour ces crédits déboursés, Oumou Khairy Guèye Seck avance, au finish, un montant de 1 milliard 180 millions de francs pour cette année contre 885 millions pour 2010, soit 33% de financement de plus.
A ce titre, des institutions telles que la Caisse nationale de crédit agricole du Sénégal (CNCAS), le Crédit mutuel Sénégal (CMS) se sont engagées à accompagner les opérateurs, dans le cadre de la commercialisation des moutons pour la Tabaski 2011.
Le ministère de l’Elevage va aussi engager une concertation sur le transport des moutons dont la finalité est ‘’d’arriver à éviter une hausse des tarifs pour le convoyage des animaux, d’assurer la mise à la disposition des opérateurs d’une flotte de camions suffisante’’.
Des points de vente autorisés ont été identifiés par les gouverneurs de région en collaboration avec le Comité national de préparation de la Tabaski, qui compte en son sein, le Cadre de concertation des organisations professionnelles en élevage.
Cette année, 38 points de vente ont été proposés pour la région de Dakar dont 19 points normalisés avec toutes les commodités nécessaires, selon le ministre de l’Elevage.
Ces points de vente feront l’objet d’aménagements adéquats après leur confirmation par arrêté du gouverneur.
Pour la Tabaski 2011, la demande potentielle est estimée à 712.000 moutons dont 246.000 pour la région de Dakar qui reste ‘’le centre de consommation le plus important’’.
Telle est l’estimation de la demande que les éleveurs et les opérateurs ont promis de couvrir pour que chaque famille puisse avoir un mouton à la portée de sa bourse, a rapporté le ministre de l’Elevage.
Pour encourager les éleveurs à convoyer tôt leurs moutons vers Dakar, le ministère de l’Elevage s’est engagé à subventionner 500 mille tonnes d’aliments de bétail à hauteur de 30%.
APS
Il s’agit de la mise en place d’un plan de communication axé sur la concertation régulière avec les professionnels de l’élevage et de la diffusion d’informations sous forme de spots radio et télés, de reportages et d’émissions à travers les médias, a expliqué Oumou Khairy Guèye Seck.
Des affiches et des banderoles seront également conçues et diffusées, de même qu’un bulletin ‘’Info Tabaski’’. Un journal interactif de la Tabaski sera aussi diffusée à la télévision nationale 10 jours avant la fête pour ‘’informer sur l’approvisionnement journalier en moutons et répondre aux questions des populations’’.
Après la tenue, la semaine dernière, d’un conseil interministériel sur ces préparatifs, le ministre de l’Elevage a cru bon d’échanger avec la presse ‘’en détail sur des dispositions prises par le gouvernement’’.
Parmi ces mesures, elle a noté l’exonération des droits et taxes sur les petits ruminants ainsi que l’assouplissement des conditions de transports et d’acheminement des moutons.
Il y a aussi la mise en place du ‘’crédit Tabaski’’ avec déjà 366 millions de francs décaissés par les institutions financières engagées dans ce processus, selon le ministre de l’Elevage. Une enveloppe de 600 millions de francs est en cours de décaissement pour les opérateurs désireux de s’engager dans le circuit d’approvisionnement.
Pour ces crédits déboursés, Oumou Khairy Guèye Seck avance, au finish, un montant de 1 milliard 180 millions de francs pour cette année contre 885 millions pour 2010, soit 33% de financement de plus.
A ce titre, des institutions telles que la Caisse nationale de crédit agricole du Sénégal (CNCAS), le Crédit mutuel Sénégal (CMS) se sont engagées à accompagner les opérateurs, dans le cadre de la commercialisation des moutons pour la Tabaski 2011.
Le ministère de l’Elevage va aussi engager une concertation sur le transport des moutons dont la finalité est ‘’d’arriver à éviter une hausse des tarifs pour le convoyage des animaux, d’assurer la mise à la disposition des opérateurs d’une flotte de camions suffisante’’.
Des points de vente autorisés ont été identifiés par les gouverneurs de région en collaboration avec le Comité national de préparation de la Tabaski, qui compte en son sein, le Cadre de concertation des organisations professionnelles en élevage.
Cette année, 38 points de vente ont été proposés pour la région de Dakar dont 19 points normalisés avec toutes les commodités nécessaires, selon le ministre de l’Elevage.
Ces points de vente feront l’objet d’aménagements adéquats après leur confirmation par arrêté du gouverneur.
Pour la Tabaski 2011, la demande potentielle est estimée à 712.000 moutons dont 246.000 pour la région de Dakar qui reste ‘’le centre de consommation le plus important’’.
Telle est l’estimation de la demande que les éleveurs et les opérateurs ont promis de couvrir pour que chaque famille puisse avoir un mouton à la portée de sa bourse, a rapporté le ministre de l’Elevage.
Pour encourager les éleveurs à convoyer tôt leurs moutons vers Dakar, le ministère de l’Elevage s’est engagé à subventionner 500 mille tonnes d’aliments de bétail à hauteur de 30%.
APS
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