Takeifa serait-il au bord de l’implosion ? Tout porte à le croire après l’annonce du départ de l’icône du groupe familial. Deux semaines après les premières rumeurs concernant sa défection, Maah Khoudia a fini par confirmer la mauvaise nouvelle. « Je quitte effectivement le groupe, pour donner une nouvelle orientation à ma carrière », a-t-elle lâché au bout du fil, d’une voix étouffée et réservée, renseigne "l'Observateur".
Créé en 1998 au cœur du domicile familial à Kaolack, Takeifa perd ainsi sa sœur. Celle qui, avec sa dépigmentation atypique, avait fini par être confondue avec l’identité du groupe et au rayonnement des albinos. Avec sa guitare, elle avait pourtant participé aux succès du groupe, avec entre autre, les tubes « No stress », « Hé Jo », dans un mélange de pop et de rock auquel avait fini par adhérer les mélomanes sénégalais.
Mais aujourd’hui, Maah Khoudia ne se sent plus dans la ligne musicale de ses frères. C’est là la seule pomme de discorde qui l’a décidée à se tester dans une carrière solo. C’est du moins ce qu’elle dit.
« Pour le moment, tout ce que je sais, c’est que je vais devoir travailler plus, beaucoup plus. Je veux pouvoir apporter une touche personnelle à la musique ». Meme si elle assure n’avoir signé de contrat avec aucun autre label, la page Takeifa semble donc définitivement tournée par Maah Keita. Cheikh, Jac, Iba et Fallou, vont devoir se débrouiller sans la présence iconique de leur sœur. D’ailleurs, comment ont-ils accueilli cette annonce ?
« C’est à eux qu’il faudrait poser la question », répond Maah Khoudia. Takeifa, qui avait révolutionné la musique sénégalaise, serait peut-être d’ailleurs en train de vivre ses derniers moments. Le départ de Maah Khoudia en cache deux autres, ceux de Fallou et de Jac. Le premier serait parti depuis trois mois et le départ du second devrait intervenir sous peu. C’est ce que dit Maah Khoudia. « Je ne suis pas la seule à partir. Mon frère, Fallou, a quitté le groupe et Jac a comme programme de travailler sur un album solo ». Comme un air d’implosion.
Créé en 1998 au cœur du domicile familial à Kaolack, Takeifa perd ainsi sa sœur. Celle qui, avec sa dépigmentation atypique, avait fini par être confondue avec l’identité du groupe et au rayonnement des albinos. Avec sa guitare, elle avait pourtant participé aux succès du groupe, avec entre autre, les tubes « No stress », « Hé Jo », dans un mélange de pop et de rock auquel avait fini par adhérer les mélomanes sénégalais.
Mais aujourd’hui, Maah Khoudia ne se sent plus dans la ligne musicale de ses frères. C’est là la seule pomme de discorde qui l’a décidée à se tester dans une carrière solo. C’est du moins ce qu’elle dit.
« Pour le moment, tout ce que je sais, c’est que je vais devoir travailler plus, beaucoup plus. Je veux pouvoir apporter une touche personnelle à la musique ». Meme si elle assure n’avoir signé de contrat avec aucun autre label, la page Takeifa semble donc définitivement tournée par Maah Keita. Cheikh, Jac, Iba et Fallou, vont devoir se débrouiller sans la présence iconique de leur sœur. D’ailleurs, comment ont-ils accueilli cette annonce ?
« C’est à eux qu’il faudrait poser la question », répond Maah Khoudia. Takeifa, qui avait révolutionné la musique sénégalaise, serait peut-être d’ailleurs en train de vivre ses derniers moments. Le départ de Maah Khoudia en cache deux autres, ceux de Fallou et de Jac. Le premier serait parti depuis trois mois et le départ du second devrait intervenir sous peu. C’est ce que dit Maah Khoudia. « Je ne suis pas la seule à partir. Mon frère, Fallou, a quitté le groupe et Jac a comme programme de travailler sur un album solo ». Comme un air d’implosion.