A Thiès, ce dimanche, Talla Sylla commence par déclarer : « Aujourd’hui, si la main divine n’était pas intervenue, vous seriez en train de prier pour le repos de mon âme, parce qu’en cette cinquième année, si les tractations du commanditaire de l’agression meurtrière dont je fus victime avaient réussi, ce seraient des récitations de versets du Coran auxquelles j’aurais droit. » Selon lui, ce qui est reste évident dans cette affaire, c’est que son agresseur n’est personne d’autre que le régime d’Abdoulaye Wade marqué par « l’inféodation critique du pouvoir judiciaire au pouvoir politique ». D’après lui, la conséquence de cette situation, c’est la montée de la violence physique, voire mortelle. Une montée jamais égalée dans l’histoire du Sénégal.
Toutefois, Talla Sylla s’est aussi voulu rassurant. Puisqu’il soutient que « le régime de Wade vit ses dernières heures ». Parce que, dit-il, le pouvoir a lancé un combat dont seul le peuple serait vainqueur. « Jamais une poignée d’homme, quels que soit sa puissance et ses pouvoirs, n’a pu remporter le combat d’asservissement, d’assujettissement et de bâillonnement d’un peuple », dixit le leader du Jëf-Jël.
Sur le débat autour de la succession de Wade, Talla Sylla est convaincu que le chef de l’Etat travaille « à se faire remplacer par son fils de la "Génération du crime’’ pour veiller sur sa propre sécurité après son départ ». « Car, explique Talla Sylla, il n’ose mettre personne d’autre à la place pour sauver ses arrières. » Et c’est tout le sens, d’après lui, des attaques contre Macky subitement devenu gênant.
source nettali
Toutefois, Talla Sylla s’est aussi voulu rassurant. Puisqu’il soutient que « le régime de Wade vit ses dernières heures ». Parce que, dit-il, le pouvoir a lancé un combat dont seul le peuple serait vainqueur. « Jamais une poignée d’homme, quels que soit sa puissance et ses pouvoirs, n’a pu remporter le combat d’asservissement, d’assujettissement et de bâillonnement d’un peuple », dixit le leader du Jëf-Jël.
Sur le débat autour de la succession de Wade, Talla Sylla est convaincu que le chef de l’Etat travaille « à se faire remplacer par son fils de la "Génération du crime’’ pour veiller sur sa propre sécurité après son départ ». « Car, explique Talla Sylla, il n’ose mettre personne d’autre à la place pour sauver ses arrières. » Et c’est tout le sens, d’après lui, des attaques contre Macky subitement devenu gênant.
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