Talla Sylla s’en prend au cumul de fonctions du Premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye. Pour Talla Sylla, il est inadmissible qu’un premier ministre soit le directeur de campagne d’un candidat. « Nous lui demandons de démettre son premier ministre qui est aujourd’hui son directeur de campagne. C’est un acte qui n’est pas républicain », dit Talla Sylla.
Ce n’est pas la seule requête du leader du JËF JËL. Pour Talla Sylla, Wade doit mettre en place un gouvernement de normalisation. « Nous lui demandons de mettre en place un gouvernement de normalisation du Sénégal qui devrait être de notre point de vue une personnalité des Assises nationales qui constituent un espace de rencontre sans précédent dans ce pays », soutient le chantre de la Révolution du « Wallu » qui est d’avis qu’« il faut restaurer la légalité républicaine ».
Et Talla Sylla d’espérer que ces demandes formulées à qui de droit ne tomberont pas à l’oreille d’un sourd. « Nous espérons qu’il le fera pour permettre au peuple sénégalais d’éviter ce qui s’est passé en Tunisie, en Egypte, et qui en train de se passer en Libye ».
Le politicien chanteur met en garde : « si ceux qui sont au pouvoir, principalement le président de la République ne pose pas les actes idoines pour permettre de tourner le dos à certaines situations, le 19 mars sera le début de la révolution du « Wallu».
Talla Sylla s’est par ailleurs prononcé sur les premières mesures qu’il va prendre une fois à la tête du Sénégal. « Dieu seul sait qui sera là demain. Je ne dis même pas élu, mais qui sera vivant. Je dis bien si je suis vivant, en pleine possession de mes capacités et je suis élu, tous ceux qui auront détourné l’argent des Sénégal et qui ne l’auront pas restitué d’ici le mois de juillet, sera mis en prison. C’est clair », avertit Talla Sylla.
Ce n’est pas la seule requête du leader du JËF JËL. Pour Talla Sylla, Wade doit mettre en place un gouvernement de normalisation. « Nous lui demandons de mettre en place un gouvernement de normalisation du Sénégal qui devrait être de notre point de vue une personnalité des Assises nationales qui constituent un espace de rencontre sans précédent dans ce pays », soutient le chantre de la Révolution du « Wallu » qui est d’avis qu’« il faut restaurer la légalité républicaine ».
Et Talla Sylla d’espérer que ces demandes formulées à qui de droit ne tomberont pas à l’oreille d’un sourd. « Nous espérons qu’il le fera pour permettre au peuple sénégalais d’éviter ce qui s’est passé en Tunisie, en Egypte, et qui en train de se passer en Libye ».
Le politicien chanteur met en garde : « si ceux qui sont au pouvoir, principalement le président de la République ne pose pas les actes idoines pour permettre de tourner le dos à certaines situations, le 19 mars sera le début de la révolution du « Wallu».
Talla Sylla s’est par ailleurs prononcé sur les premières mesures qu’il va prendre une fois à la tête du Sénégal. « Dieu seul sait qui sera là demain. Je ne dis même pas élu, mais qui sera vivant. Je dis bien si je suis vivant, en pleine possession de mes capacités et je suis élu, tous ceux qui auront détourné l’argent des Sénégal et qui ne l’auront pas restitué d’ici le mois de juillet, sera mis en prison. C’est clair », avertit Talla Sylla.