Composé de sept véhicules neufs et d’un container rempli d’outils pédagogiques, le matériel d’un coût d'‘’une centaine de millions’’, selon le promoteur de la structure Doumbouya Dembélé, a été offert par des partenaires français, sans plus de précision sur leur identité.
M. Talla était accompagné, entre autres, du Consul général du Sénégal en France, Amadou Diallo, de l’ambassadeur itinérant Alioune Ndao Fall, du directeur du Centre national de qualification professionnelle (CNQP) et du directeur de l’Office national de formation professionnelle.
Il a également visité le lycée technique en construction dans le quartier de Gourel Diadié et le Centre de formation professionnelle à l’économie familiale.
Le ministre a magnifié les actes posés par tous ceux qui ont eu, ‘’de près ou de loin’’, à participer à l’érection de ce centre, mais surtout à son fonctionnement malgré les écueils rencontrés.
Le centre a été construit et équipé par les ressortissants de Siradoundou (département de Bakel), avec l’appui de partenaires français et sénégalais.
‘’Nous avons découvert que c’est un matériel de haut niveau’’, a indiqué M. Talla, faisant remarquer qu’il s’agit de ‘’voitures nouvelles’’ avec un mélange d’électronique, des ‘’milliers de capteurs, de fils’’. ‘’Ça appelle une ingéniosité et je crois que les formateurs sont à la hauteur de nos ambitions dans ce domaine’’, a dit Mamadou Talla.
‘’Dans quelques années, (…) on ne va plus réparer les voitures comme on le faisait avant’’, a dit M. Talla, ajoutant que comme cela se fait dans les pays développés, des ordinateurs branchés détecteront les pannes, pour orienter le mécanicien vers le remplacement de la pièce défaillante. ‘’C’est en ce sens que ce centre est essentiel pour le Sénégal’’, a-t-il noté.
‘’Cet important lot de matériel est d’une importance capitale pour un bon déroulement des enseignements apprentissages’’, a indiqué le directeur du centre de formation, Mamadou Ndiaye. Il s’est engagé à ‘’prendre le plus grand soin’’ de cet équipement, à travers une ‘’procédure de maintenance rigoureuse, mais aussi une utilisation rationnelle pour le plus grand bénéfice des apprenants’’.
‘’Le centre apporte une partie essentielle de la solution aux problèmes auxquels nous sommes confrontés’’, a aussi relevé M. Ndiaye, signalant cependant que l’établissement reste ‘’confronté à d’autres problèmes à savoir l’électrification et l’aménagement d’un terrain de sport’’.
Le ministre a souligné que la vocation de ce centre est d’offrir un ‘’plateau d’excellence’’ dans le domaine de la mécanique automobile, la carrosserie, la peinture, les motocycles et le froid.
C’est aussi un ‘’espace d’intégration sous régional, car placé au milieu du corridor Dakar Bamako, axe d’échanges entre le Sénégal et la sous-région’’, a ajouté Mamadou Talla, pour qui, l’accroissement des effectifs de ce centre, passés à 60 apprenants, est ‘’synonyme de l’intérêt porté à la formation professionnelle’’ de la région orientale.
Un élan qui peut être encouragé et soutenu par l’ouverture prochaine du lycée d’enseignement technique de la région qu’il a visité et dont les travaux se poursuivent, a-t-il dit.
BC/ADI/SAB
M. Talla était accompagné, entre autres, du Consul général du Sénégal en France, Amadou Diallo, de l’ambassadeur itinérant Alioune Ndao Fall, du directeur du Centre national de qualification professionnelle (CNQP) et du directeur de l’Office national de formation professionnelle.
Il a également visité le lycée technique en construction dans le quartier de Gourel Diadié et le Centre de formation professionnelle à l’économie familiale.
Le ministre a magnifié les actes posés par tous ceux qui ont eu, ‘’de près ou de loin’’, à participer à l’érection de ce centre, mais surtout à son fonctionnement malgré les écueils rencontrés.
Le centre a été construit et équipé par les ressortissants de Siradoundou (département de Bakel), avec l’appui de partenaires français et sénégalais.
‘’Nous avons découvert que c’est un matériel de haut niveau’’, a indiqué M. Talla, faisant remarquer qu’il s’agit de ‘’voitures nouvelles’’ avec un mélange d’électronique, des ‘’milliers de capteurs, de fils’’. ‘’Ça appelle une ingéniosité et je crois que les formateurs sont à la hauteur de nos ambitions dans ce domaine’’, a dit Mamadou Talla.
‘’Dans quelques années, (…) on ne va plus réparer les voitures comme on le faisait avant’’, a dit M. Talla, ajoutant que comme cela se fait dans les pays développés, des ordinateurs branchés détecteront les pannes, pour orienter le mécanicien vers le remplacement de la pièce défaillante. ‘’C’est en ce sens que ce centre est essentiel pour le Sénégal’’, a-t-il noté.
‘’Cet important lot de matériel est d’une importance capitale pour un bon déroulement des enseignements apprentissages’’, a indiqué le directeur du centre de formation, Mamadou Ndiaye. Il s’est engagé à ‘’prendre le plus grand soin’’ de cet équipement, à travers une ‘’procédure de maintenance rigoureuse, mais aussi une utilisation rationnelle pour le plus grand bénéfice des apprenants’’.
‘’Le centre apporte une partie essentielle de la solution aux problèmes auxquels nous sommes confrontés’’, a aussi relevé M. Ndiaye, signalant cependant que l’établissement reste ‘’confronté à d’autres problèmes à savoir l’électrification et l’aménagement d’un terrain de sport’’.
Le ministre a souligné que la vocation de ce centre est d’offrir un ‘’plateau d’excellence’’ dans le domaine de la mécanique automobile, la carrosserie, la peinture, les motocycles et le froid.
C’est aussi un ‘’espace d’intégration sous régional, car placé au milieu du corridor Dakar Bamako, axe d’échanges entre le Sénégal et la sous-région’’, a ajouté Mamadou Talla, pour qui, l’accroissement des effectifs de ce centre, passés à 60 apprenants, est ‘’synonyme de l’intérêt porté à la formation professionnelle’’ de la région orientale.
Un élan qui peut être encouragé et soutenu par l’ouverture prochaine du lycée d’enseignement technique de la région qu’il a visité et dont les travaux se poursuivent, a-t-il dit.
BC/ADI/SAB