"Un jour, Matar m'a appelé sur mon téléphone portable, et nous avons amicalement échangé. Le 10 octobre 2012, à 18 heures passées de 30 minutes, il m'a retrouvé dans mon bureau ou nous avons longtemps échangé. Nous avons parlé de sexe. Sachant que je suis très connu, il m'a tendu un piège de pratiques d'actes contre-nature. Nous nous sommes déshabillés en nous couchant sur la natte que j'avais étalée par terre, dans mon bureau. Nous nous sommes longtemps caressés. J'ai porté un préservatif avant de le p... par derrière", révèle le chroniqueur.
Ensuite le journaliste dit s’être vite retiré. "Pris de peur, je me suis aussitôt relevé et nous nous sommes rhabillés. Matar m'a demandé de lui remettre 50.000f, sinon il allait dire partout que nous faisions des pratiques homosexuelles. Je lui ai dit que c'était un chantage dégueulasse de sa part que je n'accepterai pas, parce que c'était mauvais. Ensuite je lui ai dit que cette bêtise n'était plus à commettre, car c'était une erreur de notre part. Il a insisté que je lui donne de l'argent, mais j'ai refusé. Je l'ai sommé de sortir de mon bureau, il a refusé. Pour le contraindre à quitter les lieux, j'ai pris le couteau". C'est en le manipulant pour faire peur à son protagoniste que le journaliste dit 'l'avoir blessé au flanc", raconte Tamsir.
"Ensuite nous nous sommes battus, il a récupéré le couteau et m'a blessé à la main gauche. Cela a fait du bruit et les gens qui étaient en bas sont intervenus pour nous séparer. Nous saignions tous les deux. L'agent de sécurité qui était en faction au rez-de- chaussée de l'immeuble a appelé ses supérieurs, les sapeurs pompiers et la police", dit-il.
Par la suite, poursuit Jupiter: "Matar et moi avons, une fois au commissariat central, beaucoup échangé. Ce qui nous a permis de reconnaître notre erreur tout en regrettant notre comportement. Nous sommes présenté des excuses et avons tiré les leçons de nos errements".
Ensuite le journaliste dit s’être vite retiré. "Pris de peur, je me suis aussitôt relevé et nous nous sommes rhabillés. Matar m'a demandé de lui remettre 50.000f, sinon il allait dire partout que nous faisions des pratiques homosexuelles. Je lui ai dit que c'était un chantage dégueulasse de sa part que je n'accepterai pas, parce que c'était mauvais. Ensuite je lui ai dit que cette bêtise n'était plus à commettre, car c'était une erreur de notre part. Il a insisté que je lui donne de l'argent, mais j'ai refusé. Je l'ai sommé de sortir de mon bureau, il a refusé. Pour le contraindre à quitter les lieux, j'ai pris le couteau". C'est en le manipulant pour faire peur à son protagoniste que le journaliste dit 'l'avoir blessé au flanc", raconte Tamsir.
"Ensuite nous nous sommes battus, il a récupéré le couteau et m'a blessé à la main gauche. Cela a fait du bruit et les gens qui étaient en bas sont intervenus pour nous séparer. Nous saignions tous les deux. L'agent de sécurité qui était en faction au rez-de- chaussée de l'immeuble a appelé ses supérieurs, les sapeurs pompiers et la police", dit-il.
Par la suite, poursuit Jupiter: "Matar et moi avons, une fois au commissariat central, beaucoup échangé. Ce qui nous a permis de reconnaître notre erreur tout en regrettant notre comportement. Nous sommes présenté des excuses et avons tiré les leçons de nos errements".