Pour Mahamat Nour Ibedou, secrétaire général de la Convention tchadienne de défense des droits de l'homme (CTDDH), il n’est pas évident que tous les quarante-quatre prisonniers étaient des prévenus Boko Haram.
Pour rappel, la semaine dernière, 58 prisonniers du groupe Boko Haram avaient été transférés dans un centre de détention en périphérie de Ndjamena et remis aux autorités judiciaires mercredi.
Mais jeudi matin, 44 d'entre eux ont été retrouvés morts dans leur cellule, selon les autorités tchadiennes et d’après les conclusions d'un médecin légiste, ils auraient avalé un poison.
Mais faits troublants pour Mahamat Nour Ibedou qui se confiait à RFI, il n’y a pas eu encore d’enquête qui confirme que ces gens-là sont vraiment de Boko Haram, en plus ils sont morts dans un camp de gendarmerie qui est très connu ses pratiques violant les droits de l’homme.
Pour rappel, la semaine dernière, 58 prisonniers du groupe Boko Haram avaient été transférés dans un centre de détention en périphérie de Ndjamena et remis aux autorités judiciaires mercredi.
Mais jeudi matin, 44 d'entre eux ont été retrouvés morts dans leur cellule, selon les autorités tchadiennes et d’après les conclusions d'un médecin légiste, ils auraient avalé un poison.
Mais faits troublants pour Mahamat Nour Ibedou qui se confiait à RFI, il n’y a pas eu encore d’enquête qui confirme que ces gens-là sont vraiment de Boko Haram, en plus ils sont morts dans un camp de gendarmerie qui est très connu ses pratiques violant les droits de l’homme.