A l’occasion de la Première édition du concours de développement d’application Mobile pour le Sénégal, tenue samedi dernier à Esmpt, trois projets ont ravi la vedette parmi les douze qui étaient en liste. A savoir, le projet Abc Game, 1er (Oumar Seydou Niang), la gestion des emplois du temps 2ème (Daouda Iboga) et Business manager 3ème. Pour ce dernier projet, Ibrahima Ndoye, licence en génie informatique à l’Université de Thiès, un des auteurs du projet est revenu sur les avantages. « Le projet business manager qui est une application mobile va permettre à la plus part des commerçants du Sénégal de pouvoir gérer leur portefeuille ». Ainsi, « elle est aussi conçue avec des préceptes qui permettent à l’utilisateur de faire du marketing du management et de la publicité dans le domaine de ses activités commerciales ».
Selon Ibrahima Ndoye, « les principes qui ont conçus ce projet sont tirés de la finance et de l’économie mais aussi on a tenu à prendre en compte des réalités et des problèmes des commençants et c’est avec les difficultés que ces derniers rencontrent que nous avons pensé mettre sur pied un tel projet ».
M. Ndoye se dit inquiet concernant le lendemain d’un tel projet. « Les autorités Sénégalaises doivent accélérer le processus sur ce plan de la Technologie », déclare l’étudiant Thiessois. Avant d’ajouter : « en plus du faible taux d’alphabétisation, il y a aussi les utilités numériques dont la majorité des Sénégalais ignore leur importance ». C’est ainsi qu’il faudra « sensibiliser le maximum de personnes et intégrer ces applications au niveau des entreprises, car ce sont des applications qui demandent d’être prises en sérieux ». Mais Ibrahima Ndoye dit garder un espoir pour le futur du Mobile Sénégal. « Au future, le Mobile Sénégal va faire bouger l’Afrique toute entière ».
Concernant le marché de la technologie au Sénégal, Ibrahima Ndoye affirme que « le marché de l’emploi en technologie est en pleine recrudescence, mais au Sénégal le Mobile est au ralenti. Il y a de moins en de moins d’investisseurs par contre dans les pays occidentaux, la technique est beaucoup plus développée qu’au Sénégal ». C’est dans ce sillage qu’il exhorte les autorités Sénégalaises « à donner beaucoup plus de moyens aux étudiants qui évoluent dans ce domaine pour qu’ils puissent arriver au même niveau que les occidentaux ».
Même son de cloche pour Tahirou Ouattara, Directeur de l’enseignement de la formation de la recherche à l’Esmpt. « Dans l’état actuel des affaires, le marché de la technologie est très grand et il y a encore de la demande », renseigne t-il. Ainsi : « je crois que l’Afrique est en retard dans le domaine de la technologie et nous avons des inquiétudes pour le futur de nos techniciens », ajoute M. Ouattara.
Pour les perspectives, ce représentant du Directeur de Esmpt, « nous voulons que Mobile Sénégal grandisse pour devenir Mobile Afrique, car nous sommes une Université sous régionale » Pour rappel, le projet Mobile Sénégal est financé par Pace University Usa dont la représentante est Chritelle Scharff
Source : Sud Quotidien, 18 janvier 2010)
Selon Ibrahima Ndoye, « les principes qui ont conçus ce projet sont tirés de la finance et de l’économie mais aussi on a tenu à prendre en compte des réalités et des problèmes des commençants et c’est avec les difficultés que ces derniers rencontrent que nous avons pensé mettre sur pied un tel projet ».
M. Ndoye se dit inquiet concernant le lendemain d’un tel projet. « Les autorités Sénégalaises doivent accélérer le processus sur ce plan de la Technologie », déclare l’étudiant Thiessois. Avant d’ajouter : « en plus du faible taux d’alphabétisation, il y a aussi les utilités numériques dont la majorité des Sénégalais ignore leur importance ». C’est ainsi qu’il faudra « sensibiliser le maximum de personnes et intégrer ces applications au niveau des entreprises, car ce sont des applications qui demandent d’être prises en sérieux ». Mais Ibrahima Ndoye dit garder un espoir pour le futur du Mobile Sénégal. « Au future, le Mobile Sénégal va faire bouger l’Afrique toute entière ».
Concernant le marché de la technologie au Sénégal, Ibrahima Ndoye affirme que « le marché de l’emploi en technologie est en pleine recrudescence, mais au Sénégal le Mobile est au ralenti. Il y a de moins en de moins d’investisseurs par contre dans les pays occidentaux, la technique est beaucoup plus développée qu’au Sénégal ». C’est dans ce sillage qu’il exhorte les autorités Sénégalaises « à donner beaucoup plus de moyens aux étudiants qui évoluent dans ce domaine pour qu’ils puissent arriver au même niveau que les occidentaux ».
Même son de cloche pour Tahirou Ouattara, Directeur de l’enseignement de la formation de la recherche à l’Esmpt. « Dans l’état actuel des affaires, le marché de la technologie est très grand et il y a encore de la demande », renseigne t-il. Ainsi : « je crois que l’Afrique est en retard dans le domaine de la technologie et nous avons des inquiétudes pour le futur de nos techniciens », ajoute M. Ouattara.
Pour les perspectives, ce représentant du Directeur de Esmpt, « nous voulons que Mobile Sénégal grandisse pour devenir Mobile Afrique, car nous sommes une Université sous régionale » Pour rappel, le projet Mobile Sénégal est financé par Pace University Usa dont la représentante est Chritelle Scharff
Source : Sud Quotidien, 18 janvier 2010)
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