Le SAES pointe notamment la violation des droits des familles des enseignants-chercheurs et chercheurs décédés, ainsi que le non-respect des engagements pris par le gouvernement. Parmi les griefs soulevés figurent :
L'absence de réintroduction du décret en faveur des familles des enseignants décédés, en dépit des engagements pris par le ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (MESRI) le 22 octobre 2024 ;
Le non-respect de la clause de confiance signée le 16 décembre 2024 entre le SAES et le gouvernement, qui devait conduire à la validation du décret dès le 18 décembre 2024 ;
Un jeu de renvoi de responsabilités entre la Primature et le MESRI sur la non-signature du décret ;
L’inapplication du protocole du 6 janvier 2023.
Face à ces manquements, le SAES annonce une grève de 72 heures, prévue les lundi 24, mardi 25 et mercredi 26 février 2025. Durant cette période, les militants du syndicat sont appelés à suspendre toutes les activités pédagogiques et administratives, y compris les formations payantes.
Le syndicat met en garde contre les conséquences sur les années académiques 2023-2024 et 2024-2025, dont il dégage toute responsabilité, et réaffirme qu’aucun pacte social ne sera signé sur les tombes des enseignants disparus. Un appel à la mobilisation a été lancé pour exiger l’application sans délai du protocole d’accord et la préservation de la dignité des familles concernées.
L'absence de réintroduction du décret en faveur des familles des enseignants décédés, en dépit des engagements pris par le ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (MESRI) le 22 octobre 2024 ;
Le non-respect de la clause de confiance signée le 16 décembre 2024 entre le SAES et le gouvernement, qui devait conduire à la validation du décret dès le 18 décembre 2024 ;
Un jeu de renvoi de responsabilités entre la Primature et le MESRI sur la non-signature du décret ;
L’inapplication du protocole du 6 janvier 2023.
Face à ces manquements, le SAES annonce une grève de 72 heures, prévue les lundi 24, mardi 25 et mercredi 26 février 2025. Durant cette période, les militants du syndicat sont appelés à suspendre toutes les activités pédagogiques et administratives, y compris les formations payantes.
Le syndicat met en garde contre les conséquences sur les années académiques 2023-2024 et 2024-2025, dont il dégage toute responsabilité, et réaffirme qu’aucun pacte social ne sera signé sur les tombes des enseignants disparus. Un appel à la mobilisation a été lancé pour exiger l’application sans délai du protocole d’accord et la préservation de la dignité des familles concernées.